Un texte que j'ai trouvé dans un blog. Je l'ai trouvé tellement bien écrit, que je n'ai pas pu ne pas le recopier.
Deux corps qui se retrouvent, qui s'attirent,
qui s'approchent, qui s'empoignent, qui se collent,
qui s'étreignent, qui sont biens...
Lèvres qui se promènent sur le visage, qui baisent,
qui se joignent, qui s'entrouvrent laissant le passage
à deux langues qui dansent ensemble, qui s'enroulent...
Mains qui s'égarent, qui caressent, qui s'insinuent,
qui contournent, qui soupèsent, qui enveloppent,
qui vont là où c'est si bon pour chacun...
Vêtements qui
tombent au sol, l'un après l'autre,
doucement soulevés ou presque arrachés,
découvrant chaque parcelle de peau...
Chaque parcelle de peau aussitôt dénudée,
aussitôt embrassée, lêchée, croquée,
caressée, pinçotée, titillée...
Corps nus qui se serrent l'un contre l'autre,
qui se frottent, qui se tortillent, qui s'entortillent,
qui cherchent le plaisir, qui sont bien...
Sexe qui s'ouvre, qui suinte, qui a chaud...
Sexe qui se gonfle, s'étire, s'érige, devient raide...
Sexes qui se frottent, qui roulent l'un contre l'autre...
Corps qui tombent ensemble
sur le lit,
qui s'emmêlent, ne font plus qu'un,
qui ondulent, font des noeuds...
Mains qui effleurent, qui caressent ou pétrissent,
qui épousent la formes d'une fesse, d'un sein, d'une cuisse,
qui serrent fort un vit, un bras, une nuque...
Bouches qui lêchent, mordillent, suçotent, lêchent,
qui boit pour l'une à la source sacrée,
qui se remplit pour l'autre de la verge dressée...
Peaux qui frémissent, qui se hérissent, qui transpirent
qui cherchent à adhérer par chacun de ses pores
à la peau de l'autre, s'enduisant de son odeur, de sa sueur...
Sexes qui se rejoignent, qui gonflent encore,
qui s'emboîtent, qui vont éclater,
qui se hérissent d'un énorme plaisir...
Hanches qui vont et viennent, qui roulent,
qui se soulèvent, qui retombent,
qui sont empoignées, soulevées, étreintes...
Plaisirs qui montent. Ongles qui pénètrent les chairs.
Muscles bandants. Respirations haletantes.
Enormes ondes électriques de la pointe des cheveux aux bouts des pieds...
Explosion. Contraction. Ejaculation.
Extraordinaire tension. Corps qui se vident.
Mixtion des secrétions. Jouissance. Petite mort...
et invita Flo de venir s'asseoir sur mon lit auprès
d'elle. Celle-ci ne se fit pas prier et vient la rejoindre en courant. Cat l'embrassa sur ses lèvres, lui retira sa chemise de nuit, lui caressa ses seins, et mis ses doigts dans son sexe. Flo en
fit autant pour sa sœur. Je n'en croyais pas mes yeux à ce que j'assistais. Depuis combien de temps, elles avaient ces rapports incestueux ? Cat lui dit que si elle voulait m'avoir, il faut me
mériter. Cat me prend pas les mains et je m'assis sur le lit. Je me sentis plus détendu. Elle regarda flo en hochant la tête.

Tu es surpris quand je mouille beaucoup, mais pas moi. Je
mouille car je t'aime, toi et ton sexe. Tu m'excites, dès que je vois ton sexe bander. Car s'il grossit, je sais que c'est pour moi, que tu as envie de moi. L'un dans l'autre, je veux te rendre
le plus heureux possible, que tu prennes ton pied comme on dit. J'aime aussi être sur toi, car je sais que tu aimes sentir toute la paroi de mon sexe. Et moi j'aime sentir tout ton sexe.


Et je me cambrais de nouveau en
jouissant. Il me disait d'essayer de me calmer, mais je ne pouvais pas. En plus ça me faisait mal. Je lui suppliais de me les enlever, que je ne pouvais plus les supporter. Alors il m'enleva mon
pantalon, ma culotte, entra ses doigts en moi, et me les enleva. Quel soulagement ! Mais éric ne pu résister à la vue de mon sexe. Il défit son pantalon et entra en moi. Il cherchait mes lèvres,
mes quatre lèvres, ma poitrine, mes cuisses. C'était un vrai délice. Quand il eut fini, il se sépara de moi, et examina les geishas qui continuaient à vibrer. Il s'avère que les vibrations
étaient assez violentes et c'est pourquoi je ne pouvais pas les maitriser. Il était vraiment en colère. Il me demanda de revenir dans ma chambre pendant qu'il aurait une discussion avec son chef.
Je lui obéis. Je retraversais le camp d'entrainement en baissant la tête et me dépêcha d'entrer. Mais au moment d'ouvrir la porte, un homme m'empoigna par les cheveux et me dit d'un air menaçant,
qu'il n'avait pas finit avec moi comme promis. Je sus que c'était le militaire de tout à l'heure à qui j'ai fait une fellation. Il me mit une main sur ma bouche et me poussa violemment dans ma
chambre. Je lui supplia de partir. Il s'approcha de moi en ricanant. Il avait son sexe bandant dans ses mains. Ça me donnait l'impression qu'il tenait un couteau. Il me bloqua contre le mur. Je
sentais son haleine et sa respiration rapide. Avec peine, il me déchira mon pantalon me retourna face au mur et entra en moi. Il s'acharnait en moi comme une bête. Mais la porte de ma chambre
s'ouvrit d'un coup et mon violeur reçut un grand coup de poing d'éric. Je crus qu'il allait le massacrer. Il le jeta en dehors de ma chambre en lui promettant qu'il ferait un rapport sur ce qu'il
venait de faire.