espionne

Mardi 2 avril 2 02 /04 /Avr 10:46

Dernier jour : jour 7

 

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Enfin le septième jour arriva. C'était ma dernière journée de calvaire. J'en avais hâte de finir. Je me réveillai dans les bras d'éric. Je me sentais bien contre son corps, peau contre peau.

Il se réveilla, lui aussi, en me serrant très fort contre lui. On s'embrassa doucement, puis comme il bandait, je m'assois sur lui et entra son sexe en moi.

Il eut le loisir de caresser mes seins autant qu'il pouvait, de les prendre dans ses mains. Et moi, j'ondulai en lui. De temps en temps je me baissais pour l'embrasser. Je soulevai mon bassin afin de sentir tout son sexe tout le  long de la paroi de mon sexe.

D'un coup il prit l'initiative de changer de position, me retourna ventre contre le lit et me prit par derrière. Pour mieux le sentir, je me mis à genoux. Il me montrait combien il était viril et me donnait des accous violents. C'était tellement bon, que j'en avais des frissons  sur tout mon corps.  Ensuite, il s'enleva, et visa mon petit trou. Il y entra sans vraiment de difficulté. Une petite douleur apparue mais qui s'est transformée à un plaisir immense. Je lui suppliais même d'aller plus fort. Il n'osait pas au début de peur de me faire mal alors ce fut moi qui prit les directives. Je lui donnais de fort coup de hanche. Alors il comprit qu'il n'y avait pas de raison à avoir peur. Le plaisir se décupla. J'en criais tellement que c'était bon. Puis il jouit en moi et on s'affala tous les deux sur le lit. Tout en m'embrassant, il me dit "bonjour !". b-w-couple-sexy-cd027d5d9b797e3dda9d12d15309fde9_h.jpg

On se leva, nous prîmes une douche qui se transforma à un jeu sexuel, nous nous habillâmes. Il m'amena au mess des sous officiers pour prendre un petit déjeuner. Une fois avoir bien mangé, il me demande de venir le rejoindre dans son bureau pour des formalités. Ce que je fis. Il y avait du monde dans le bureau. je reconnu  mes bourreaux : le vieux et Claire.

Ils me demandèrent de m'asseoir. Ils me tinrent ce long discours qui me prouva que mon calvaire était bien fini :

"- Ma très chère dame, nous arrivons au septième jour, et vous avez réussit à ne pas avouer le contenu de cette enveloppe malgré les tortures que vous avez subies cette semaine. On vous félicite. Très peu y arrive. Vous nous avez prouvé que vous êtes forte, que vous pouvez être une bonne espionne. Je ne sais pas vraiment comment vous avez fait pour tenir. On voudrait aussi vous dire qu'on est désolé sur ce qu'on vous a fait subir mais voyez-vous, si jamais on vous kidnappe, vous allez subir des tortures pire que ça. Mais je pense que ça suffira. Je pense que le viol est la pire des tortures. Surtout quand on est vierge comme vous l'étiez.

On vous laisse ce jour tranquille. Vous pourrez vous promener sans crainte dans la base si vous le désirez, personne ne vous touchera. J'ai fait ce qu'il faut.

Donc je vous dis à demain pour des exercices d'entraînement ?"

Tous les deux partirent du bureau en me serrant la main chaleureusement ! J'en restais toute retournée ! Eric me raccompagna dans ma chambre me laissa, en me disant qu'il avait encore du boulot.

Je n'osais pas sortir de ma chambre. Je n'étais pas très sûre que je ne risquais rien ! Et puis, je me demandais ce qu'il pourrait bien avoir dans cette enveloppe. Minutieusement, je la sortis de la cachette. J'ouvris l'enveloppe et sortis le papier où il y avait écrit : Félicitation, à partir d'aujourd'hui vous êtes espionne ! Pas mal ! J'éclatais de rire de tout mon saoul !

Je tournais en rond dans cette chambre. Je ne savais vraiment pas quoi faire. Mon sexe me faisait mal. Il demandait des pénis. J'y étais tellement habituée depuis ces quelques jours, que mon sexe en redemandait. Mon corps était en ébullition. J'avais envie de ressentir cette bonne sensation de sexe masculin en moi. Je n'en pouvais 82532.jpg plus. Je ne savais pas comment assouvir cette envie très gourmande. Je me déshabillais , m'allongea sur mon lit et mit mes mains sur mon clitoris. Je me masturbais. Mais ça ne me suffisait pas. Alors je mis mes doigts à l'intérieur de mon sexe. Je réussis à me faire jouir. Mais ça ne me suffisait pas. Je voulais quelque chose de plus long de plus dur en moi. Je fis le tour de ma chambre pour voir ce que je pourrais utiliser. Je pensais à un stylo qu'il y avait dans ma valise. J'aime bien les stylos originaux d'ailleurs j'en collectionnais. Je me rappelais que j'en avais un gros. Alors je le pris dans ma main, écarta mes jambes ainsi que les lèvres de mon sexe et enfonça ce stylo en moi. Ce n'était pas un pénis mais c'était aussi bon. Je m'amusais à le rentrer et le sortir de ma chatte. Je l'enfonçais le plus que je pouvais, avec mes doigts qui en sexy-couple-224x300.jpg traient aussi en moi. Je me faisais plaisir ! Je réussis à voir mille étoiles. Mais ça ne me suffisait pas? Je crois que j'étais droguée au sexe. Alors je me rhabilla et sortis de ma chambre. Un beau militaire passait par là. Je l'attrapais par le col et l'entraîne dans ma chambre. Je l'embrassais avec fougue. Il se laissa complètement faire. Je lui dégrafai son pantalon, lui sortit son sexe qui bandait déjà et lui fit une fellation.  Ensuite, je lui baissais son pantalon jusqu'aux chaussures, le poussa pour le plonger sur mon lit. Je me mis sur lui, et entra son sexe en moi avec une telle fougue ! Mon petit jeu dura un petit moment ! Une fois terminé, je le fiche hors de chez moi. 

En plus j'avais honte de moi. Cette fois-ci, je l'ai presque violé, et je ne le connaissais même pas ! Je me dis qu'il fallait que je me calme. Alors je m'allongeai et m'endormit.

Quand éric fit son apparition, je lui racontais, que le sexe me manquait beaucoup. Il me rassura que c'était normal.  Il me plongea sur le lit, et on refit l'amour.

Pour la suite, l'entraînement ne fut qu'un jeu d'enfant car j'étais tout de même sportive avant ça.

Je pus devenir espionne et eric devint mon mari et mon associé de travail.

 

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Lundi 1 avril 1 01 /04 /Avr 17:58

 

Jour 6

 

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Quand je me réveillais, le jour était déjà levé depuis un moment déjà. Bizarre que personne ne m'ait réveillée avant. Tant mieux ! Ça m'a permis de me reposer un peu. J'en avais tant besoin !

Quelqu'un frappa à la porte. C'était eric qui m'apporta un plateau de croissants chauds avec du café. J'étais agréablement surprise ! Je ne m'y attendais pas !

« - Bonjour, ma belle, comment vas-tu ? Il fait beau dehors ! » Quelle surprise de son engouement ! Il posa le plateau sur mes genoux et je pu déjeuner. J'avais tellement faim ! Puis j'ai vu sur mon plateau des boules de geisha. Je ne savais pas trop ce que c'était. Éric me dit que je devrais mettre ça en moi et que quelqu'un avec une télécommande, les fera vibrer au point de me faire jouir. Ça ma coupé net l'appétit. C'est quoi encore cette histoire ? Alors il dégagea mon plateau en le mettant sur le côté, m'embrassa, se mit sur moi. Il caressait mon corps. Ses mains passèrent sur mes seins, mon dos, mes reins, ma nuques, mes cuisses. Je ne pu m'empêcher d'écarter mes cuisses pour l'avoir en moi. Mais, au lieu de me pénétrer, il fourra en moi ces boules de geisha. Il mit son index sur mes lèvres car j'allais protester. C'était lui que je voulais, pas ces trucs. J'avais l'impression d'être punie. Il me dit que c'est mieux comme ça, il n'avait pas eu à me les entrer par la force. Il avait compris que j'étais réticente.gesha.jpg

Il se leva du lit, me demanda de me lever,et de m'habiller pour qu'on puisse visiter la base militaire ensemble. Après tout pourquoi pas ? Ça me changera un peu.

Je couru à la salle de bain enthousiasmée, quand je sentis un picotement en moi. C'était vraiment une impression bizarre. Sur le coup il a fallu que je m'affale au sol. Tout mon corps était en alerte. Ce que je ressentis étais délicieux. Je ne pu m'empêcher de gémir. Mon corps se cambrait de plaisir. je ne pu m'empêcher de caresser mon clitoris. Ma culote commençaot à se tremper.

Éric vient me rejoindre. Je lui tendis ma main pour la serrer très fort, tellement que c'était intense. Il se mit à genoux devant moi en profita pour m'embrassait de nouveau. D'un coup tout s'arrêta. J'étais en sueur. Bien que j'aimais ça, je ne voulais pas que ça recommence. Éric m'assura que je m'y habituerais, que je n'y ferais même plus attention. Je le cru qu'à moitié. Donc je me préparai et sortis à l'extérieur de ma chambre. C'est vrai qu'il faisait beau. J'étais éblouie par le soleil. J'étais tellement habituée à rester dans les salles sombres, que j'avais l'impression de sortir après une longue maladie. L'envie de vivre revint en moi. J'en avais bien besoin.

Éric me montra le camp d'entrainement. Il y avait pas mal de militaires qui faisaient leur exercice. Éric m'expliqua que mon entrainement physique se fera à cet endroit. Et d'un coup, de l'électricité en moi réapparu. En plaisir immense refait surface. Je m'écroule de nouveau; mon corps est parcouru de spasmes. Mon corps se cambra, et je poussais des cris de jouissances. Je n'étais pas maitre de mon corps. Les militaires tournèrent la tête vers moi par curiosité puis d'envie. J'attendis même un dire : « regardez, une chienne en chaleur ! » ou encore « une chatte en chaleur qui ne demande un gros sexe comme le mien » ou alors : « regarde cette pute, je vais me la faire »....rousse049.jpg

Ils m'entourèrent. Je cherchais éric du regard, et je vis qu'il ne bougeait pas. Il ne s'interposait pas. Mais pourquoi ? Et moi qui n'en pouvait plus. Un homme s'approcha de moi et mit sa main sur mon entrejambe à travers le pantalon. D'autres sortaient leurs bites et se branlaient. Un me mit son sexe dans ma bouche. Je le suçais, je n'avais pas le choix. J'attendis un coup de sifflet je ne sais d'où, et les militaires revinrent à leur tache. Celui qui je suçais me dit d'un air menaçant qu'il n'en a pas finit avec moi. Et partit. Même les boules de geisha arrêtèrent de fonctionner. Je pu me lever honteuse. Éric était tout prêt de moi l'air penaud. J'eus compris qu'il n'avait pas le choix. Je vins vers lui, le pris par la main et lui souris pour lui montrer que je ne lui en voulais pas. J'ai vu dans ses yeux de la détresse, de la haine mais aussi de l'amour pour moi. Alors nous continuèrent la visite. Rien ne se produisit durant un bon moment. Ce qui me rassura. Peut-être m'avait-t-on oublié ? Mon ami me montra une aire verte d'herbe où l'on pu s'installer tranquille. On pu discuter de tout et de rien. De temps à autre il me caressait mes joues, m'effleurer mes lèvres. On était comme des amoureux. Mais mes picotements reviennent à nouveau. Je serrais la main très fort d'éric. J'avais encore du mal à me contenir. 776412.jpg Et je me cambrais de nouveau en jouissant. Il me disait d'essayer de me calmer, mais je ne pouvais pas. En plus ça me faisait mal. Je lui suppliais de me les enlever, que je ne pouvais plus les supporter. Alors il m'enleva mon pantalon, ma culotte, entra ses doigts en moi, et me les enleva. Quel soulagement ! Mais éric ne pu résister à la vue de mon sexe. Il défit son pantalon et entra en moi. Il cherchait mes lèvres, mes quatre lèvres, ma poitrine, mes cuisses. C'était un vrai délice. Quand il eut fini, il se sépara de moi, et examina les geishas qui continuaient à vibrer. Il s'avère que les vibrations étaient assez violentes et c'est pourquoi je ne pouvais pas les maitriser. Il était vraiment en colère. Il me demanda de revenir dans ma chambre pendant qu'il aurait une discussion avec son chef. Je lui obéis. Je retraversais le camp d'entrainement en baissant la tête et me dépêcha d'entrer. Mais au moment d'ouvrir la porte, un homme m'empoigna par les cheveux et me dit d'un air menaçant, qu'il n'avait pas finit avec moi comme promis. Je sus que c'était le militaire de tout à l'heure à qui j'ai fait une fellation. Il me mit une main sur ma bouche et me poussa violemment dans ma chambre. Je lui supplia de partir. Il s'approcha de moi en ricanant. Il avait son sexe bandant dans ses mains. Ça me donnait l'impression qu'il tenait un couteau. Il me bloqua contre le mur. Je sentais son haleine et sa respiration rapide. Avec peine, il me déchira mon pantalon me retourna face au mur et entra en moi. Il s'acharnait en moi comme une bête. Mais la porte de ma chambre s'ouvrit d'un coup et mon violeur reçut un grand coup de poing d'éric. Je crus qu'il allait le massacrer. Il le jeta en dehors de ma chambre en lui promettant qu'il ferait un rapport sur ce qu'il venait de faire.

Il me prit dans ses bras, me souleva de terre, m'amena à la douche. On se doucha ensemble. Ensuite nous allèrent sur mon lit, et nous fûmes l'amour tout le reste de la journée.

 

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Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 20:22

 

Jour 5

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Étrangement, quelqu'un frappa à ma porte. Jusqu'à maintenant, les gens entraient sans frapper ! C'était le matin et j'ai passé vraiment une bonne nuit du je pense à la drogue qu'ils m'ont donné. C'était la femme dont j'ai fait sa connaissance la veille. Elle entra dans ma chambre avec sourire comme si on était de bonne copine. Elle se présenta à moi. Elle s'appelait Claire. Elle me demanda de mes nouvelles. Je lui réponds que j'allais très bien. J'avoue que je me méfiais d'elle comme la peste. Quand elle me parlait elle me touchait souvent les épaules, mes bras... je reculais à chaque contact de sa part. Je savais ce dont elle était capable. Par contre ce qui me troubla est qu'elle m'avoua qu'elle aimait les hommes autant que les femmes. Et que je lui plaisais beaucoup. Je lui ai fait comprendre que je n'étais pas intéressée. Mais elle s'en foutait. Elle m'embrassa comme un mec. Elle avait des lèvres très douces, chaudes agréables. Je fis tout d'abord surprise, je ne m'y attendais pas mais je me laissais faire. Elle releva mon t-shirt et caressa ma poitrine. Elle adorait passer son doigt à travers les anneaux. Moi ça me faisait mal étant donné que ce n'était pas encore cicatris 71229m1w1-copie-1.jpg é. Elle s'enleva son t-shirt et colla sa poitrine contre la mienne. Il faut dire qu'elle ne portait pas de sous vêtement. Ni soutien gorge ni culotte. Je le sus à mes dépends car elle glissa ma main sous sa jupe et j'ai eu un contact direct avec son sexe. Elle lu ma surprise et m'avoua qu'ici les gens aimait sauter tout ce qui bouge et que c'était plus pratique comme ça quand un homme voulait la baiser. D'ailleurs, elle aimait beaucoup ça.  Ces propos me laissèrent pantoise. Elle m'enleva mon jean, ma culotte. On s'allongea sur le lit, et frotta son sexe contre le mien. C'est une sensation toute nouvelle pour moi et étrangement, j'aimais ça. Elle mit sa main dans mon sexe, c'était vraiment l'extase ! Elle me caressait de l'intérieur. C'était aussi bon bon qu'un sexe masculin. Alors je lui fis la même chose. On se fit plaisir un bon moment comme ça. Elle lécha aussi mon petit minou. Elle savait vraiment s'y faire. Je voulais lui rendre la pareil, alors elle me guida. Elle prit ma tête entre ses mains, elle me la guida sur son sexe. Elle serra ses cuisses sur ma tête pour ne pas que je la sorte. 

« Maintenant, tu lèches mon sexe avec ta langue. Je veux que tu le lèches toute la longueur. Oui comme ça. Tu vois, devant j'ai un petit bouton passes-y ta langue. Prend le aussi entre tes lèvres. Embrasse le. Maintenant, tu vas enfoncer ta langue à l'intérieur. Écarte bien mes lèvres. Enfonce la bien à fond. Remue la à intérieur. C 'est délicieux. J'aime ce que tu me fais. Continue comme ça. Maintenant, aspire mon humidité. Regarde comme je mouille. c'est bien ma belle. Recommence à me lécher. Je vois que tu es très douée ! »

Quand enfin, elle me libéra de ses jambes, je viens vers ses lèvres pour l'embrasser pour la caresser, lui prendre ses seins dans ma bouche. On fit l'amour comme ça. Je ne pensais pas qu'un jour je ferais l'amour à une femme. En plus elle était vraiment belle.

Une fois finie, épuisée, elle se rhabilla, et me donna un sac en me disant que je devais me mettre ça sous mes vêtements. Quand je l'ouvris, j'étais horrifié. C'était encore ces fameux colliers en cuir de l'autre lesbienne.jpg jour. Je lui supplie que je ne voulais pas me mettre ça. Mais elle me répondit en m'embrassant que je n'avais pas le choix, c'est le chef qui l'exigeait. Je ne savais pas mettre ça, alors elle m'aida. Elle me passa le collier en cuir et le collier qui entourait mes seins. Ensuite elle m'aida à mettre ses belles cuissardes noires en talon aiguille. Elle me fait mettre aussi un  string noir en dentelle. Et par dessus je m'enfile une jupe et un t-shirt.  

Elle m'accompagna dans la salle de torture habituelle. Étonnamment, je n'avais pas peur. Je m'attendais au pire. Mon corps s'habituait à la douleur et au sexe.

Le vieux se trouvait à l'intérieur. Il m'attendait. Quand il me vit, il me demanda très gentiment, de me déshabiller et de me mettre en condition. J'acceptais sans discuter. Claire sortit de la pièce et une dizaine d'hommes entrèrent. Ils se mirent l'un derrière l'autre. Ils se déshabillèrent tous. Ils bandaient tous. Je les regardais et je les trouvais beaux. Je n'ai pas pu les admirer plus longtemps car le vieux militaire me passa une chaine dans les anneaux de ma poitrine et tira de toute ses forces pour me faire mettre à genoux. Ça m'a fait un mal de chien. Ça a même saigné ! Mais je m'en foutais de la douleur, j'en avais l'habitude. Donc je me mis à genoux et il me tira comme une chienne. Il m'amena devant ces hommes et me commanda de faire une pipe à chacun des hommes. Et ben, vous me croirez pas si je vous dis que je l'ai fait volontiers. Je les ai tous pris dans ma bouche chacun son tour. Et même j'avalais leur semence. Pendant je m'occupais d'un, un autre se permettait de me prendre par derrière. C'était délicieux. J'étais vraiment excitée et si je pouvais j'en demanderais d'autre. Je voulais pleins de bites dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon cul. Quel pied ! Ils avaient réussi à me rendre folle de sexe. Il y en avait un qui m'a écrasé sa clope sur ma peau. Même pas mal ! Ce jour là, j'ai tout supporté et je peux dire que leur message, même si je le hard057.jpg connaissais, ils pouvaient se le mettre dans le cul ! Même si mon cul devait supporter pleins de bites. Plus j'en avais, plus j'en voulais ! Le vieux était bien embêté car je supportais tout ! Je hurlais même de plaisir ! Les mecs aussi d'ailleurs, ils disaient que j'étais bonne ! Je ne leur aurais pas dit le contraire car quand j'avais un sexe dans la bouche, je m'appliquais à ce qu'ils prennent leur pied. Et quand j'avais une bite dans moi la plupart grosse, je me cambrais tant que je pus ! C 'était une vrai partouze ! Vingt mecs pour une seule fille ! Des bites comme il en pleuvait ! Je suis sûre que pleins de filles rêveraient de ce moment ! J'ai vu même des mecs se sodomiser. Ça faisait bizarre, mais j'aime bien les regarder. Ça m'excitait encore plus. Dommage que j'ai attendu maintenant pour avoir des relations sexuelles. Je ne savais pas que c'était si bon !

Alors le vieux, prit une tige en ferraille brulante avec un symbole et la plaqua sur ma peau. Je hurlais ! Mais tant pis je continuais à faire des pipes. Je me foutais de tout ! Moi qui était si sensible à la douleur. N'empêche j'ai passé la journée à jouer avec le sexe de pleins hommes et je les laissais jouer avec le mien. partouze.jpg

 

Dégouté, le vieux, me ramena à quatre pattes tirée de cette chaîne devant tout le monde dans ma chambre. Il me poussa avec une grande violence dans ma chambre. Il était vraiment furax de l'avoir ridiculiser. Mais je n'ai pas vu qu'il avait une cravache dans sa main. Il me fouetta autant qu'il pu. Mon corps était marqué de partout. Je ne pleurais pas, je ne suppliais même pas. Alors il me viola, je lui appartenais entièrement. Et il me laissa à terre dégouté. Je ne pleurais pas. Je n'en avais même pas envie. Je ne sais pas si c'est de la folie, mais je me mis à éclater de rire. Je n'arrivais pas à m'arrêter. Ensuite je m'allongea dans mon lit. Je regardais le tatouage, qui me brûlait et c'était un serpent magnifique. En plus je l'avais à proximité de mon triangle. Je laissais le temps passer jusqu'au lendemain matin.

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Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 14:14

 

Jour 4

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Il était encore très tôt, Alex dormait encore. Quand soudain elle fut réveillée par une douleur atroce au niveau du rectum. Elle se réveilla complètement affolée. En fait c'était le vieux soldat qui la sodomisait. Il a profité qu'elle dorme pour la violer. Elle ne pu se défendre car il la tenait fermement à la taille contre lui, en mettant son autre main sur sa bouche afin qu'elle ne hurle pas. Elle l'entendait grogner à chaque accoues. Elle souffrait le martyre. Elle pu enfin lui mordre sa main férocement ce qui le fait hurler. Mais resta tout de même en elle. Elle profita de se relâchement pour s'enfuir dans un coin de la chambre complètement apeurée et en larme.

« - La salope, elle m'a mordu ! Mais qu'est ce qu'il t'es passé dans la tête ? Tu aimes ça d'habitude !

  • casse toi, gros porc, hors de ma vue

  • sais-tu à qui tu parles ? Sais-tu que c'est moi qui tient les rênes ? C'est moi qui décide quelles tortures choisir ? Si tu me rejettes, tu ne peux savoir combien tu vas souffrir ma belle. Je peux être très méchant. Allez, vient à moi, je te veux. Tu es belle, je t'aime.

  • Allez-vous en.

  • Ok, je m'en vais.... tu vas me le payer très cher petite pute »

Et il partit la laissant seule dans ses peurs et ses angoisses.

Elle se sentait sale par ce qu'il venait de se passer. Alors elle alla prendre une douche. Dans la douche, elle fit couler l'eau chaude sur el femme_213.jpg le. Elle se sentit bien. Elle avait besoin de savoir si son corps lui appartenait encore. Elle se caressa les seins, son ventre, son cou, ses cuisses et enfin  son sexe si blessé par ses brutes. Elle ne vit pas l'ombre qui l'observait.   Elle mit sa main entre ses jambes. Elle enfonça un doigt à l'intérieur et découvrit qu'elle pouvait aussi se donner du plaisir. Elle s'entendit soupirer. Elle s'assit dans le bac de sa douche et continua l'exploration de son sexe. Plus que sa fente, elle découvrit un petit bouton. Quand elle y passa la main, elle sentit un drôle de sensation plutôt agréable. Donc elle insista et ne pu que gémir de bonheur. Oui maintenant elle savait que son corps était encore à elle et qu'elle pouvait se donner du plaisir. Elle leva la tête et vu une main qui tenait le rideau de sa douche et une autre qui remuait à toute vitesse. Elle cria ; « qui êtes vous ?

  • c'est moi Éric, je t'ai observé et tu vois, tu m'as fait bander. N'aie pas peur. J'arrive. »

Rassurée, elle l'invita à entrer dans la douche. Elle allait se relever mais celui-ci l'en empêcha. Il entra son doigt en elle avec des va et vient. C'était si bon ! Il s'accroupit et lui demanda de lui faire une petit gâterie. Elle accepta. Elle prit le sexe d'Éric dans sa main et le mit dans sa bouche. Elle suça tout d'abord le gland comme si c'était une petite sucette. Puis elle passa sa langue plusieurs fois tout le long de son pénis. Ensuite, elle enfonça son sexe jusqu'à ses amygdales et l'aspirant. Et elle força sur le sexe avec ses lèvres en lui faisant des va et vient. Lui pendant ce temps il continua à lui titiller sa petite chatte. Il lui dit de se mettre à quatre pattes et ce qu'elle fit. Il la pénétra avec douceur. Elle adorait ça. C'était si bon de sentir un homme doux, qui ne veut pas te faire du mal. Ensuite il se retira, et lui demanda de s'assoir les jambes écartées. Il se mit à quatre pâtes entre ses jambes et mit à lécher la sexe d'Alex. 1225218485_sexy_couple.jpg Il commença à lécher ses lèvres, et à lui titiller son bouton. Elle adorait cette sensation. Ensuite, il enfonça sa langue carrément en elle. Elle cambrait son dos, et jouit de plaisir. Il la lécha encore un petit moment. Il voulait qu'elle aussi lui fasse une fellation. Alors il eu une idée. Il l'amena sur le lit et l'allongea. Il se mit sur elle mais sa tête sur la chatte d'Alex et son pénis du côté du visage d'Alex. Ce qui fait que chacun a pu prendre soin l'un de l'autre. Alex avait le pénis d'Éric dans sa bouche et Éric léchait la chatte d'Alex. Ils purent jouir tous les deux ensemble. Surtout Éric qui jouit dans la bouche d'Alex. 

 

Après ce moment intime, Éric se rhabilla et demanda à Alex d'en faire autant car c'était l'heure du petit déjeuner et que la journée de travail allait commencer. Donc elle s'habilla et Éric l'amena dans une cantine où elle pu manger copieusement. Elle reconnu dans la salles les hommes qui l'avait violentée. L'un deux s'approcha d'elle, et prit ses seins en pleines mains en ricanant en lui demandant si elle avait bien aimé la petite fiesta de l'autre jour. Elle cherchait le regard d'Éric à l'aide. Celui-ci était visiblement en colère. Il se leva et donna un coup de poing à ce type. Celui-ci vacilla surprit et se rassoit en s'excusant. Ça avait jeté un froid et tout le monde mangea en silence. Mais le vieux entra dans la cantine et fut satisfait de la voir. Il lui commanda de le suivre. Une fois à l'extérieur, il la prit par les cheveux violemment et l'a fit entrer dans la casa de la veille.

« - maintenant à nous deux. Tu te laisse baiser par Éric mais par moi, tu refuses ? C'est bien ça ? Et bien tu vas me le payer. » Il restait encore la chaise de la veille. Il poussa violemment Alex dessus et lui arracha ses vêtements. Celle-ci en avait marre de se laisser faire et se débattait tant qu'elle pu en lui suppliant de lui foutre la paix et qu'elle ne voulait plus le voir.

« - très bien, ma belle, je vais appeler quelqu'un d'autre ! Je reviens » il partit en la laissant seule. Elle voulu fuir mais la porte était fermée à clef. Elle n'avait qu'une seule solution : attendre. En tout cas elle était fière d'elle de lui avoir tenu tête. Quelques instants après, le vieux soldat, revient dans la pièce accompagné d'une femme. Elle était coiffée d'un chignon, sans aucune mèche qui dépasse. Elle avait l'air très stricte.

Celle-ci se dirigea vers elle et lui dit : « alors ma belle blonde, on ne veut plus coopérer ? Tu sais que tu es en plein entrainement ? Qu'on ne peut plus te laisser partir sans l'avoir fini ?et que tu as signé pour qu'on puisse te faire ce que l'on veut de toi ?alors maintenant tu vas fermer ta grande gueule, et tu te laisses faire à moins que tu nous dises ce qu'il y avait inscrit dans le lettre. Non ? Et bien ma belle, on va s'amuser ! J'aime beaucoup les minettes comme toi. ( se tournant vers le vieux) attaches la veux-tu ? Je vais me préparer. »

Pendant qu'il lui attacha les mains dans son dos, la femme se détacha ses cheveux et enleva ses vêtements pour se retrouver nue. Elle s'assit les jambes écartées et embrassa goulument Alex sur les lèvres. Elle demanda au vieux de venir et de « l'embrocher ». il baissa son pantalon et la baisa, tout ça sur les genoux d'Alex. Ça en devenait répugnant. Surtout que la bonne femme prenait son pied. Pendant qu'elle se faisait prendre, la femme donna un grand coup de langue sur la joue d'Alex, avec ses mains, elle serra ses joues et entra sa langue dans la bouche tout en la farfouillant et en cherchant la langue d'Alex. Ensuite elle finit de lui déchirer son t-shirt, et libéra sa poitrine. Il est vrai qu'Alex avait une grossepoitrine. La bonne femme prit un de ses seins dans sa bouche et lui mordit très fort la pointe, mais tellement fort, qu'on pouvait voir la marque de ses dents.

Mais Alex criait très fort, elle criait pour la douleur mais aussi qu'elle en avait marre, que son corps était à elle. Elle se débattait comme une furie. Le couple voyant cela, ce regardèrent complices. Ils arrêtèrent leur accouplement. La bonne femme prit une seringue de son sac à main et la pointa devant le visage d'Alex. Celle-ci se calma complètement affolée. Elle détestait les piqûres. Elle en avait une peur bleue. Elle se mit à supplier qu'elle se laisserait faire,mais pas de piqûre. Quand la bonne femme comprit la peur bleue d'Alex,sourit et lui dit : «  ma belle va falloir que tu apprennes à ne pas avoir peur de quoi que ce soit. Sinon, ce sera l'échec pour toi. Ce qu'il y a dans cette seringue, est inoffensif, juste une petite drogue, qui te permettra à supporter tout ça et à ce que tu sois coopérative »

Elle demanda à son complice de la tenir bien fort. Celle-ci la piqua juste à l'extrémité de son sein. Aiguille008.jpg Elle ne vida que la moitié de la seringue. Elle refit une autre piqûre à l'autre extrémité de son autre sein. Alex n'a jamais connu une douleur aussi horrible. Elle hurlait tant qu'elle pu. Ses cheveux étaient humides de transpiration. Elle se sentie partir mais sans s'endormir. Le couple l'allongèrent sur un vieux matelas. Et là ils firent sa fête. La bonne femme lui enleva son pantalon et sa culotte. Elle lui lécha tout son corps à grand coup de langue. Elle lécha son visage, son cou, ses seins, son ventre en descendant vers son sexe. Puis les cuisses et enfin elle s'occupa de son entre jambes. Elle lui écarta ses cuisses et la lécha tant qu'elle pu tout en lui mordillant son sexe. Elle lui faisait assez mal mais Alex ne pouvait répliquer qu'avec de faibles plaintes. Par contre le vieux la tourna. La bonne femme intéressée, lui lécha aussi l'anus en entra sa langue dedans. Ensuite elle s'accroupit sur elle et lui pissa dessus, en particulier sur son visage en lui tenant bouche ouverte. Celle-ci ricanait comme une sorcière. Enfin le vieux la sodomisa très violemment avec une haine inimaginable. La bonne femme sortie un god, elle mit un bout dans son propre sexe et l'autre dans le sexe d'Alex. Sexe contre sexe, elles se faisaient plaisir. Alex étrangement appréciait cela mais ça aurait été mieux sans que ce vieux con la sodomise. C'est sûr qu'on s'occupait d'elle !

Ensuite le type sortit d'elle et mit son penis dans la bouche d'Alex. Il sentait vraiment mauvais, normal, il était dans son anus. Elle vomit tout ce qu'elle avais déjeuné. Le problème est qu'elle était endormie, et qu'elle failli s'étouffer avec. Ils ont du la mettre sur le côté pour que ça n'arrive pas. Mais sans aucune pitié il recommença à lui mettre son sexe dégueulasse dans la bouche d'Alex et l'obligea à le sucer. Ensuite, la bonne femme une fois avoir jouit, elle prit deux anneaux et une pince . Elle obligea au vieux d'arrêter et c'est elle qui l'embrassa. Ensuite elle demanda au vieux de la prendre. Alors il mit les deux jambes d'Alex autour de son cou, et la prit. La femme, en profita pour percer les tétons d'Alex . La douleur fut-elle qu'Alex tomba dans les pommes. anneaux-a-seins-penis-gold-3747506.png Mais le vieux continua à bouger en elle. La bonne femme lui ordonna de s'arrêter car elle était évanouit. Il n'écoutait rien, il continuait. Le corps d'Alex bougeait comme une poupée de chiffon jusqu'à ce qu'il eut jouit. Visiblement, la bonne femme était en colère. Ce n'était pas dans leur principe. C'était de l'abus.

Quand Alex se réveilla, elle était dans son lit toute propre, dans les draps. Elle se sentait un peu vaseuse. Elle se demandait si ce qu'elle venait de subir n'était pas un rêve. Mais quand elle voulu se lever, elle compris que ce n'était pas le cas, car elle vit les deux anneaux sur ses seins. Elle n'osait pas les enlever car elle craignait avoir mal. Ils étaient tout de même assez gros et ça l'inquiétait. Elle préférait de ne plus y penser.

Éric fit son apparition quelques temps après. Elle était toujours dans son lit. Il voulu s'installer auprès d'elle mais elle refusa. Elle préférait cacher son corps. Il est vrai qu'en plus ses anneaux, elle était couverte de bleus surtout à l'entre jambe. Elle ne voulait pas qu'Éric la voit comme ça. Elle se sentait moche. Il s'approcha tout de même d'elle en la rassurant. Il lui caressait les cheveux. Il lui enleva les draps et fut horrifié quand il vit ses horribles anneaux et connaissait exactement leur utilité. Il avait pitié d'elle et lui proposa de s'enfuir de cette caverne. Elle refusa net. Elle n'avait pas subit ses atrocités pour rien. Elle devait continuer. Il la pria d'abandonner, lui expliqua qu'elle pouvait trouver un autre emploi plus intéressant mais elle ne changea pas d'avis. Il pleura pour elle, et il sortit de sa chambre. 401392_437235386367095_1591536614_n.jpg

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Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 13:23

 

Jour 3

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C'est le troisième jour que je supporte toutes ces humiliations. On m'a violé alors que j'étais vierge autant sexuellement qu'au niveau anal. Je commence à m'y faire.

Je sais que ce matin va être encore une journée difficile pour moi mais je vais tenir. Je peux le faire. Heureusement qu'il y a Éric pour me soutenir. Mais je ne sais pas si je peux le regarder du bon ou mauvais œil. Est-ce un ange ou un démon ? Je verrais par la suite. Ce matin, le soleil éclaire ma chambre et je me sens particulièrement bien dans mon lit. Je n'ai pas envie de me lever pour subir des atrocités. Je suis sûre qu'ils vont forcer la dose. En plus je me demande si c'est vraiment légal. Je me rappelle qu'Éric est venu me rejoindre dans mon lit cette nuit. Il m'a serré dans ses bras et rien d'autre. Ça m'a permis de dormir en paix tout en éloignant ces horribles cauchemars.

Je suis dans mon lit et je m'étire de tout mon saoul. Quand tout à coup la porte d'entrée s'ouvre subitement. Deux militaires que je n'ai jamais vu m'ont attrapé et mit un sac en tissu sur ma tête. ils m'ont forcé à me lever tout en attachant mes mains sur mon dos. Je ne savais pas trop où j'allais car j'étais dans le noir complet. Ils me dirigèrent dehors. J'étais pieds nus et heureusement je portais une chemise de nuit blanche qui descendait jusqu'à mes genoux. imagesbk.jpg

On m'amena dans une pièce qui sentait fort le renfermé. Je sentis qu'on m'attachait sur une planche en bois à l'aide d'une corde. Il faut dire que j'avais mes sens en éveil malgré mes craintes. J'avoue ne pas avoir peur. Je commençais à m'y faire toute à cette mascarade ! Mais je redoutais de ce qui pourrait se produire. Je sentis qu'on me couchait sur le ventre avec l'aide de cette fameuse planche. Ensuite on m'écarta de force mes jambes et on me les attacha ainsi. J'attendais des ricanements. Je pense qu'ils se sont aperçut que je ne portais aucun sous vêtements. Si j'avais su ! Quoi que ça n'aurait rien changé. Puis une voix qui ne m'était pas inconnu, celle du vieux vice lard d'hier me dit :

« - alors ma chère ? As-tu réfléchit cette nuit ? Vas-tu me donner ce code ? » je gardais le silence qui voulait dire non. C'est alors qu'on plongea ma tête dans de l'eau. Je ne m'y attendais pas du tout ! En plus elle était vraiment gelée ! Ça n'a pas duré longtemps juste quelques secondes. Mais quand on me la sortit de l'eau,, je m'étouffais, car le sac me collait sur mon nez et ma bouche. Une horreur ! Là grosse panique ! Et le vieux rigolait de tout son soul ! Je toussais à n'en pas finir et essayais de respirer. Mais il me replongea de nouveau ma tête dans cette eau froide. J'avais de l'eau jusqu'au cou. Cette fois-ci il m'y laissa un moment. J'essayais de me débattre et de crier car je cru que mes poumons allaient exploser. Et il me retira. Mais le problème n'était pas résolu car le sac me collait toujours sur mon visage. Je n'en pouvais plus. Je l'entendais ricaner de plus belle. Plus il me toucha mon sexe. Il m'enfonça ses doigts qu'il agita en moi. Et de nouveau dans l'eau. Je sentis qu'il avait mis autre chose en moi. Je ne sais pas quoi. Surement un god. Mais je m'en foutais, car je voulais respirer, me retrouver en air libre. Pendant que j'étais dans l'eau, il faisait joujou avec mon sexe. Je sentais de l'électricité en moi et en même la peur de me noyer. Mon esprit était vraiment mal au point. Je cru que j'allais devenir folle. Et on me sort de l'eau. Je crachais toussais, je ne pleurais même pas, je ne pouvais pas. Je manquais d'air cruellement. Mes poumons me faisaient mal. Mais le vieux n'eut même pas pitié de moi. Il replongea de nouveau ma tête dans l'eau pendant qu'il s'amusait avec mon sexe. Je l'entendais rire d'un rire méchant, ignoble, le rire du diable en personne à te mettre des frissons dans le dos. Il était tellement occupé avec mon sexe, qu'il m'oublia dans l'eau. Mes poumons me brulaient et avala l'eau par les poumons. Je perdu connaissance. 656310908_small_1.jpg

Quand je revins à moi, le sac était enlevé. J'étais encore attachée sur cette planche, les jambes écartées, debout. Au loin, j'ai pu apercevoir plusieurs militaires se marrer entrain de siroter une bière. Je voulais me faire toute petite , qu'ils ne s'aperçoivent pas que j'étais réveillée. Mais une toux horrible me fit cracher de l'eau.

Le vieux vient vers moi : « - alors la belle au bois dormant est réveillée ? Tu veux que je te dise ? Tu es tellement belle, que j'ai envie d'entrer en toi. Je n'ai pas encore eu la possibilité de venir dans ton sexe. Je vais t'essayer. Tient tout de suite »

il s'approcha de moi, me lécha ma joue, m'embrassa goulument. Il avait une haleine aussi horrible que hier. Je me suis aperçue que ses dents étaient pourries. J'en avais la nausée. Et d'un coup il entra en moi. Son pénis était tellement gros qu'il me fit mal. Je me mis à pleurer. Lui, s'éclater en moi. J'attendais ses râles. Il donnait tant d'accoues violents que même la planche sautait. Son affaire finit. Il m'abandonna pour rejoindre ses copains. Mon sexe me brûlait. Ma pause fut de courte pause car les autres militaires vinrent vers moi. Ils touchèrent mon corps par dessous ma chemise de nuit. Le vieux, la déchira et proposa aux autres de m'admirer. Il y en a qui me léchait mes seins, d'autres me mettait leur main dans mes parties intimes. Ils étaient 5. Je crois en avoir reconnu certains qui m'ont embêté hier quand je suis sortie nue.

Je pouvais sentir leur corps, leurs envie, leurs excitations. Ils avaient encore leur bière à la main. D'ailleurs certains me caressaient avec leurs bouteilles. Le froid du verre me donnait des frisson. Alors le vieux s'approcha de mon oreille et me dit : « - si tu ne me donnes pas le code, je te jure que je te laisse à leur merci. Ils feront ce qu'ils voudront de toi. Un mot, et tout s'arrêtera. »

Mais je ne pouvais rien dire, je ne connaissais pas ce message. Cinq hommes excités pour une seule femme attachée et non consentante, qu'est ce que ça va donner ? Je le regardais et je lui dis franchement que je ne pouvais pas l e lui dire et je cherchais un peu de compassion dans ses yeux mais j'en en vis pas. Je vis au contraire un monstre, qui s'éclatait. Je crois que je suis vraiment tombé sur le pire. Alors il s'adresse à ses amis : «  elle est belle cette fille, n'est ce pas ? Mais ce n'est pas une fille comme les autres, c'est une chienne, une pute qui aime le sexe. Vous pouvez faire d'elle ce que vous voulez, elle est à vous. Autant dans son cul que dans sa chatte, vous pouvez lui mettre ce que vous voulez. » je criais non. Il me mit un foulard dégueulasse dans ma bouche pour me faire taire. Je n'avais que mes yeux pour pleurer. Quand un mec s'approche de moi et me dit : «  ah oui ? Ce qu'on veut, je te jure que ce n'est dans entrer dans les oreilles d'un sourd » et d'un coup me mit sa bouteille de verre de bière dans mon sexe. Je voulu crier mais le foulard m'en empêchait. Comme j'avais les mains attachées au dessus de moi, un autre m'enleva la planche. Je me retrouvais les bras et le jambes écartées avec une bouteille dans ma chatte. En plus, il n'allait pas doucement. Il me l'enfonçait avec une telle brutalité ! Celui qui m'a enlevé la planche entra en moi mais par mon cul. Les autres en me touchant, se masturbaient. Leur pénis se frottaient sur ma peau. Je regardais le plafond pour ne pas penser à ce que je subissais. Il y en a un qui s'en est rendu compte. Il demanda aux autres s'ils pouvaient pas m'allonger pour qu'ils puissent mieux profiter de moi et mettre quelques bites dans ma bouche. Ils furent évidemment tous d'accord.

Donc ils me détachèrent et je tombais subitement car je n'avais plus aucune force tellement que mes muscles étaient anquilosés par cette mauvaise position. Ils m'allongèrent mais ils m'attachèrent dans la même position que quand j'étais debout. Je me suis aperçue que c'était une salle avec des crochetrousse092.jpgs et des cordes de partout. En plus je suis sûre que ce n'est pas pour m'empêcher de fuir mais pour que j'ai une position adéquate afin qu'ils me profitent de moi comme ils veulent.

Du coup on m'enleva la bouteille et un mec se coucha sur moi et entra dans moi. Un autre me tourna sur le côté avec l'aide de celui qui était en moi et me pénétra dans mon anus. J'avais deux sexes en moi. Et un troisième se mit à genoux et me mit mon sexe dans ma bouche. Il tenait une poignée de mes cheveux et m'obligea de bouger ma tête pour me le sucer. Il trouvait tellement bon, qu 'il jouit dans ma bouche. Un autre prit sa place. En fait dès qu'il y en avait un qui jouissait en moi, dans ma bouche, il y avait un autre qui prenait sa place. Et le plus pervers, pendant qu'un prenait sa place me renfonçait sa bouteille en moi. J'avais du sperme partout sur mon corps ainsi que mon sang. En plus comme j'étais par terre, j'étais toute poussiéreuse. Je me sentais sale dans tous les sens du termes.

Et puis tout d'un coup, tout s'arrêta. Les mecs partirent et me laissèrent en plan par terre dans cette mauvaise position. Il y en a un qui revient, je pensais que c'était pour me libérer, mais non, il me lança l'eau de la bassine d'eau froide sur mon corps puis me dit : «  regarde-toi salope, tu es sale. Une fille comme toi devrait rester chez maman. Mais non tu préfères faire la pute chez les militaires. Nous avons beaucoup de chance de t'avoir, on commençait à s'ennuyer et manquer de femme. Je me casse, le devoir m'appelle. Tu es vraiment trop bonne. » et il partit !

Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça. J'ai cru qu'on m'avait oublié. Mais non, le vieux revint entrain de manger : « mais que fais-tu dans cette position ? Tu me veux de nouveau c'est ça ? Tu me montres ton petit minou mais, je ne peux pas résister moi. »

Il vient, posa son sandwich juste sur mon nez et me caressa. Ça recommençait ! Je n'en pouvais plus. J'avais mal au plus profond de moi à mon sexe. Il vint entre mes cuisses et se mit à me lêcher. Même si je détestais ce mec, j'avoue que ça me faisait du bien. Ça me rafraichissait, et me soulageait de mes blessures que j'ai eu à cause de cette maudite bière. Il resta longtemps à le lécher. Il tournoyait sa langue autour de mon petit bouton, qui me faisait gémir de plaisir. Ensuite il entra se langue en moi. Je la sentais bouger comme un petit vermisseau. Un vrai délice ! Il jouait à me donner du plaisir car il savait que ça n'allait pas durer longtemps. D'ailleurs il s'arrêta et s'enfonça en moi mais cette fois-ci très délicatement. Un vrai gentleman ! Ça me faisait bien rire ! Qu'est ce qu'il cherchait après m'avoir malmenée, violentée ? Il avait sa bouche contre mon oreille et je le sentais respirer. Il sortit mais j'ai su que ce n'était pas finit. Il me détacha entièrement. Il se remit entre mes cuisses et de nouveau s'enfonça en moi. Il voulait peut-être que je le prenne dans mes bras ? Que je le câline? Que je me cambre pour lui donner plus de plaisir ? Malgré moi, c'est ce que je fis. Je bougeais en même temps que lui. Dans l'assaut, il m'enleva le chiffon de la bouche et m'embrassa comme un amoureux. Malgré mon dégoût, je fis de même. Je pris aussi du plaisir dans ses bras et on jouit ensemble. Je n'en revenais pas, j'ai fait ce qu'il a voulu. J'étais soumise. J'étais à lui. C'était le diable en personne, et je lui appartenais ! C'est à peine croyable. Il me regarda dans les yeux (il était encore en moi) en souriant, triomphant en me disant que la journée était finie, que j'en avais assez subit aujourd'hui. Il m'entoura de ma chemise de nuit déchirée et m'amena dans ma chambre. Une fois seule j'accours dans ma douche m'enlever cette souillure. J'étais épuisée, affamée, et morte de honte. En plus mon sexe me faisait horriblement mal. J'avais beaucoup saignée. Et je me demande si ce n'était du verre cassé qu'ils ont mit en moi. 1225218492_sexy_couple.jpg

Éric ouvrit la porte sans frappé avec un plateau repas. Je lui ai demandé où il était mais celui-ci me répondit qu'on lui avait interdit de rester auprès de moi car ils se sont rendu compte qu'on était trop proche. Il avait posé le plateau repas sur une table pendant que j'étais encore à la douche. Avec un grand culot, il se déshabilla et me rejoint. Entreprenant, il était très doux avec moi. Il me caressait, m'embrassait, et m'aida à me laver. J'étais comme une petite fille dans ses bras. Une fois lavée, et sèche, il me transporta sur le lit et voulu me faire l'amour. Mais je n'ai pas pu accepter tellement que j'avais mal. Il examina mes blessures. Me dit que c'était vraiment superficiel. Sans m'écouter, en reniant mes non, il s'enfilant en moi. Un vrai délice ! Je ne sentais même plus la douleur. On fit l'amour un petit moment.

Ensuite je pus enfin manger. On me laissa l'après-midi de libre où j'ai pu me reposer et enfin dormir.

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