Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 20:22

 

Jour 5

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Étrangement, quelqu'un frappa à ma porte. Jusqu'à maintenant, les gens entraient sans frapper ! C'était le matin et j'ai passé vraiment une bonne nuit du je pense à la drogue qu'ils m'ont donné. C'était la femme dont j'ai fait sa connaissance la veille. Elle entra dans ma chambre avec sourire comme si on était de bonne copine. Elle se présenta à moi. Elle s'appelait Claire. Elle me demanda de mes nouvelles. Je lui réponds que j'allais très bien. J'avoue que je me méfiais d'elle comme la peste. Quand elle me parlait elle me touchait souvent les épaules, mes bras... je reculais à chaque contact de sa part. Je savais ce dont elle était capable. Par contre ce qui me troubla est qu'elle m'avoua qu'elle aimait les hommes autant que les femmes. Et que je lui plaisais beaucoup. Je lui ai fait comprendre que je n'étais pas intéressée. Mais elle s'en foutait. Elle m'embrassa comme un mec. Elle avait des lèvres très douces, chaudes agréables. Je fis tout d'abord surprise, je ne m'y attendais pas mais je me laissais faire. Elle releva mon t-shirt et caressa ma poitrine. Elle adorait passer son doigt à travers les anneaux. Moi ça me faisait mal étant donné que ce n'était pas encore cicatris 71229m1w1-copie-1.jpg é. Elle s'enleva son t-shirt et colla sa poitrine contre la mienne. Il faut dire qu'elle ne portait pas de sous vêtement. Ni soutien gorge ni culotte. Je le sus à mes dépends car elle glissa ma main sous sa jupe et j'ai eu un contact direct avec son sexe. Elle lu ma surprise et m'avoua qu'ici les gens aimait sauter tout ce qui bouge et que c'était plus pratique comme ça quand un homme voulait la baiser. D'ailleurs, elle aimait beaucoup ça.  Ces propos me laissèrent pantoise. Elle m'enleva mon jean, ma culotte. On s'allongea sur le lit, et frotta son sexe contre le mien. C'est une sensation toute nouvelle pour moi et étrangement, j'aimais ça. Elle mit sa main dans mon sexe, c'était vraiment l'extase ! Elle me caressait de l'intérieur. C'était aussi bon bon qu'un sexe masculin. Alors je lui fis la même chose. On se fit plaisir un bon moment comme ça. Elle lécha aussi mon petit minou. Elle savait vraiment s'y faire. Je voulais lui rendre la pareil, alors elle me guida. Elle prit ma tête entre ses mains, elle me la guida sur son sexe. Elle serra ses cuisses sur ma tête pour ne pas que je la sorte. 

« Maintenant, tu lèches mon sexe avec ta langue. Je veux que tu le lèches toute la longueur. Oui comme ça. Tu vois, devant j'ai un petit bouton passes-y ta langue. Prend le aussi entre tes lèvres. Embrasse le. Maintenant, tu vas enfoncer ta langue à l'intérieur. Écarte bien mes lèvres. Enfonce la bien à fond. Remue la à intérieur. C 'est délicieux. J'aime ce que tu me fais. Continue comme ça. Maintenant, aspire mon humidité. Regarde comme je mouille. c'est bien ma belle. Recommence à me lécher. Je vois que tu es très douée ! »

Quand enfin, elle me libéra de ses jambes, je viens vers ses lèvres pour l'embrasser pour la caresser, lui prendre ses seins dans ma bouche. On fit l'amour comme ça. Je ne pensais pas qu'un jour je ferais l'amour à une femme. En plus elle était vraiment belle.

Une fois finie, épuisée, elle se rhabilla, et me donna un sac en me disant que je devais me mettre ça sous mes vêtements. Quand je l'ouvris, j'étais horrifié. C'était encore ces fameux colliers en cuir de l'autre lesbienne.jpg jour. Je lui supplie que je ne voulais pas me mettre ça. Mais elle me répondit en m'embrassant que je n'avais pas le choix, c'est le chef qui l'exigeait. Je ne savais pas mettre ça, alors elle m'aida. Elle me passa le collier en cuir et le collier qui entourait mes seins. Ensuite elle m'aida à mettre ses belles cuissardes noires en talon aiguille. Elle me fait mettre aussi un  string noir en dentelle. Et par dessus je m'enfile une jupe et un t-shirt.  

Elle m'accompagna dans la salle de torture habituelle. Étonnamment, je n'avais pas peur. Je m'attendais au pire. Mon corps s'habituait à la douleur et au sexe.

Le vieux se trouvait à l'intérieur. Il m'attendait. Quand il me vit, il me demanda très gentiment, de me déshabiller et de me mettre en condition. J'acceptais sans discuter. Claire sortit de la pièce et une dizaine d'hommes entrèrent. Ils se mirent l'un derrière l'autre. Ils se déshabillèrent tous. Ils bandaient tous. Je les regardais et je les trouvais beaux. Je n'ai pas pu les admirer plus longtemps car le vieux militaire me passa une chaine dans les anneaux de ma poitrine et tira de toute ses forces pour me faire mettre à genoux. Ça m'a fait un mal de chien. Ça a même saigné ! Mais je m'en foutais de la douleur, j'en avais l'habitude. Donc je me mis à genoux et il me tira comme une chienne. Il m'amena devant ces hommes et me commanda de faire une pipe à chacun des hommes. Et ben, vous me croirez pas si je vous dis que je l'ai fait volontiers. Je les ai tous pris dans ma bouche chacun son tour. Et même j'avalais leur semence. Pendant je m'occupais d'un, un autre se permettait de me prendre par derrière. C'était délicieux. J'étais vraiment excitée et si je pouvais j'en demanderais d'autre. Je voulais pleins de bites dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon cul. Quel pied ! Ils avaient réussi à me rendre folle de sexe. Il y en avait un qui m'a écrasé sa clope sur ma peau. Même pas mal ! Ce jour là, j'ai tout supporté et je peux dire que leur message, même si je le hard057.jpg connaissais, ils pouvaient se le mettre dans le cul ! Même si mon cul devait supporter pleins de bites. Plus j'en avais, plus j'en voulais ! Le vieux était bien embêté car je supportais tout ! Je hurlais même de plaisir ! Les mecs aussi d'ailleurs, ils disaient que j'étais bonne ! Je ne leur aurais pas dit le contraire car quand j'avais un sexe dans la bouche, je m'appliquais à ce qu'ils prennent leur pied. Et quand j'avais une bite dans moi la plupart grosse, je me cambrais tant que je pus ! C 'était une vrai partouze ! Vingt mecs pour une seule fille ! Des bites comme il en pleuvait ! Je suis sûre que pleins de filles rêveraient de ce moment ! J'ai vu même des mecs se sodomiser. Ça faisait bizarre, mais j'aime bien les regarder. Ça m'excitait encore plus. Dommage que j'ai attendu maintenant pour avoir des relations sexuelles. Je ne savais pas que c'était si bon !

Alors le vieux, prit une tige en ferraille brulante avec un symbole et la plaqua sur ma peau. Je hurlais ! Mais tant pis je continuais à faire des pipes. Je me foutais de tout ! Moi qui était si sensible à la douleur. N'empêche j'ai passé la journée à jouer avec le sexe de pleins hommes et je les laissais jouer avec le mien. partouze.jpg

 

Dégouté, le vieux, me ramena à quatre pattes tirée de cette chaîne devant tout le monde dans ma chambre. Il me poussa avec une grande violence dans ma chambre. Il était vraiment furax de l'avoir ridiculiser. Mais je n'ai pas vu qu'il avait une cravache dans sa main. Il me fouetta autant qu'il pu. Mon corps était marqué de partout. Je ne pleurais pas, je ne suppliais même pas. Alors il me viola, je lui appartenais entièrement. Et il me laissa à terre dégouté. Je ne pleurais pas. Je n'en avais même pas envie. Je ne sais pas si c'est de la folie, mais je me mis à éclater de rire. Je n'arrivais pas à m'arrêter. Ensuite je m'allongea dans mon lit. Je regardais le tatouage, qui me brûlait et c'était un serpent magnifique. En plus je l'avais à proximité de mon triangle. Je laissais le temps passer jusqu'au lendemain matin.

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Par texterotiqueisabelle - Publié dans : espionne
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