Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 12:52

 

Jour 2

 

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Vers 7 heures de matin, quelqu'un frappa à la porte et s'ouvrit à la volée. Éric entra et, caressant doucement la joue d'Alex. Elle ouvrit les yeux et aperçut Éric. Elle se leva brusquement en remontant les draps sur elle. Elle était encore nue.

« - que me veux-tu ? Sors de ma chambre et vite.

  • calme toi princesse, il est l'heure de te lever. Ton entrainement n'est pas encore terminé.

  • D'accord mais va t-en de ma chambre. Je n'ai pas envie de te voir pour l'instant.

  • Hélas ma belle, nous passerons la journée ensemble. Quoi que je suis bien ravi. Je t'ai apporté les vêtements que tu dois porter aujourd'hui. Ensuite tu iras dans la casa que tu as en face et tu iras manger. Dépêches-toi tout de même, on n'a pas toute la journée. Je t'attends là-bas. »

     

et il disparut. Elle mit ses vêtements. Il y avait des sous-vêtements très affriolants. Puis un simple t-shirt blanc plus un pantalon treillis. Sans oublier les chaussures ! Tout était à sa taille. Elle ressemblait à un vrai militaire !

Comme prévue, elle sortit de sa chambre pour aller manger. Elle n'avait pas franchi la porte que quelqu'un la tira très violemment et la fit tomber au milieu de la pièce. Elle fut très surprise tout d'abord et elle se mit à crier : « mais ça va pas ? »

et paf, elle se reçoit une gifle assez violente qui l'a laissa K.O quelques minutes.

Quand elle leva les yeux, elle était face à un homme d'une cinquantaine d'années accompagné d'Éric. « Tais-toi, je ne veux surtout pas t'entendre. Tu n'as pas à lever la voix. La prochaine, c'est un coup de poings que tu recevras. C'est bien compris ? (elle baissa la tête et dis un oui timide. C'est alors qu'elle reçoit un coup de pied sur ces cuisses) Je n'ai pas entendu ce que tu as dit. Quand je te pose une question, je veux que tu me répondes, c'est moi qui commande. Alors est ce bien compris ?

  • oui !!!!! cria-t-elle

  • alors jeune fille, Alex, c'est ça Rémi ?

  • Oui c'est ça

  • bon alors Alex, dit moi ce qu'il y avait dans cette lettre

  • non

  • comment ça non ?

  • Non

  • Rémi m'a dit que tu étais bonne, chaude comme la braise. Si tu ne me dit pas le contenu de la lettre, je peux te dire que je vais mettre ma queue dans ta bouche, et je vais te retirer mes informations.

  • Non pas ça

  • mais si ma belle, tu vas aimer ça, je peux te le dire, je l'ai grosse, je te préviens, je t'étoufferai avec

  • noooon, je vous en supplie. (un autre coup de pied sur sa cuisse)

  • alors dis moi, c'est quoi la lettre ? Je t'écoute ma belle enfant.

  • Non

  • Non ? Tu es bien sûre ?

  • ….

  • ok, Éric,  vas me chercher une chaise.

  • D'accord, je reviens »

 

C'est alors qu'il partit les laissant seul tous les deux. « mais que vais-je faire de toi ? Tu devrais me le dire, sinon, finit la vie de princesse, tu ne sortiras jamais de ce camps. Tu seras notre prisonnière à la merci d'autres militaires. En bref, tu seras notre petite pute, et belle comme tu es, je suis sûre que mes hommes ne demanderont que ça. Un petit cul à baiser. On m'a dit aussi, que tu as un cul excellent, j'aimerai bien l'essayer. Alors dis-moi ce qu'il y avait dans l'enveloppe, et ton calvaire sera terminé. »

Elle le fixa dans les yeux, et celui-ci lui donna encore une gifle. Éric revient avec la fameuse chaise, avec un croissant et de l'eau.

« alors mademoiselle a faim ? Je vais te laisser manger tranquille. Tu dois me donner l'information que je te demande sinon c 'est ma bite que tu suceras. À tout à l'heure." Il partit. Éric lui servit le croissant et la fit boire. Elle accepta volontiers. Elle ne refusa pas à manger car elle savait qu'elle allait passer une horrible et rude journée .

Éric vient auprès d'elle la rassurer.

« - tu vas me détester, mais sache , et je profite d'être seuls tous les deux car je n'ai pas le droit de te le dire, quoi qu'il advienne, quoi que je te fasse, sache que c'est seulement le boulot. Il faut que tu sois conditionnée car la vie d'espionne est difficile. Je n'ai rien contre toi. Tu es admirable, et il faut que tu es du courage. Même si je ne te connais pas suffisamment, je me sens proche de toi, et je t'apprécie. Quoi que je te fasse, ce ne sera pas par gaité de cœur. Attention, mon collègue arrive. »

Et en effet, le voici.

« Assis toi sur la chaise tout de suite. Sache qu'à partir de maintenant tu es à moi, mon joujou sexuel. Mmm que je vais aimer ça ! Alors petite princesse, qu'elle est le message ? J'aimerai avoir une réponse.

  • rêve

  • pardon ? Peux-tu répéter ?

  • Rêve »

 

femme menottesIl a chope par les cheveux, et l'oblige à s'assoir. Ensuite, il lui file une bonne gifle mais moins forte cette fois-ci.

«  Ma belle, tu vas bouffer ma bite, et tu vas aimer ! Éric , tiens sa tête bien droite. » celui-ci se mit derrière et bloqua sa tête entre sa tête. Mais Alex se débattait malgré tout. Alors, Éric l'attacha sur la chaise, les mains derrière son dos. Pendant se temps son collègue, sortit son sexe de son pantalon. Il bandait. Son sexe était vraiment gros et impressionnant !

Il s'approcha d'elle son sexe dans la main et lui crie « suce » Celle-ci était vraiment dégoutée d'être obligée de mettre ce truc dans sa bouche. Elle voulait tourner la tête mais elle ne peut pas. Alors elle ferme sa bouche le plus fort possible. Mais ce type, se faisait plus menaçant et toucha sa boucha avec son sexe. Et il criait de le sucer. Alors Éric lui tire les cheveux violemment. Elle ne plus pousser un cri et le sale type, lui mit son sexe dans la bouche.

« - maintenant, suce moi, allez, vas -y montre moi ce que tu peux faire. Il remuait son sexe dans sa bouche. Mais elle ne faisait rien elle l'avait dans sa bouche et c'est tout. Elle pensait à ne surtout à ne pas vomir.

« - suce ma bite ! Passe ta langue dessus. Fais moi jouïr. »

Elle ne pouvait pas, c'était au-dessus de ses forces.

Alors il pris sa tête et enfonça son sexe plus profond dans sa bouche ! Alors elle se mis à passer sa langue sur son sexe autour et le suce comme il voulait. Elle se dit, au point où elle en est, autant lui faire plaisir. Par contre, ce type avait l'air surpris qu'elle se laisse faire. Elle faisait ça tellement bien, il l'avait l'impression qu'elle lui aspirait son sexe qu'il jouit dans sa bouche. Elle faillit s'étouffer de dégoût. Elle cracha tout bien qu'elle du en avaler un peu.bananes-mecanique-1973-01-g 


  • « apparemment, tu as aimé ça, salope ! Puisque tu aimes ça, tu vas sucer celle d'Éric ! Aller, viens, Éric, je sais que tu en as envie, elle est bonne. »

Celui-ci abaissa son pantalon et son slip, pour sortir son pénis qui bandait déjà. Le vieux, tient la tête d'Alex, et Éric, lui enfonça son sexe dans sa bouche. C'est vrai qu'elle était douée ! Elle lui suçait son sexe tendrement, il ressentait de l'électricité dans tout son corps. Le vieux était embêté car ce n'était plus de la torture. Alors il la tira par les cheveux, et commanda à Éric de se coucher à terre. Ce qu'il fit avec regret. Il jeta Alex avec violence sur Éric, et lui obligea de s'accroupir sur lui, le sexe d'Éric en elle. Et tout les deux se mettent à bouger à se donner du plaisir. Mais le vieux ne le voyait pas de cet œil là.

  • «  tu as l'air d'aimer ça princesse, mais ça ne va pas durer si tu me donnes pas ce message. »

Elle prenait tellement son pied, qu'elle n'arrivait pas à parler.

 

- écoute moi bien, princesse, toujours en lui tirant les cheveux, il la força à le regarder, si tu ne me dis pas ce qu'il y avait dans cette enveloppe, je te prends ton joli petit cul. J'ai une très grosse bite, et je te jure, que tu vas la sentir passer. Alors petite salope, dis moi où ce code.

 

  • Non, je ne vous donnerais rien. Mais pas ça, je vous en prie.

  • Mmmm je vois ce joli petit cul qui ne demande qu'à être enfoncé par une grosse bite. Tant pis pour toi. Je suis sûr que tu vas aimer. Aller, penche toi sur éric et surtout reste sur éric. Tu te rends compte la chance que tu as, deux bites rien que pour toi. Moi je vais me régaler, il y a longtemps que je n'ai pas gouter à un si joli cul. »

ENaruto_hentai_018.jpgn la tenant par le cou, il la coucha sur éric pour voir mieux son cul. Il fut satisfait par ce qu'il voyait. Un sexe prit dans un autre, et un trou qui ne demandait à avoir un autre sexe. Il se mit à genoux entre les jambes d'Éric, avec son autre main qui tenait son pénis, s'approcha dangereusement

du cul d'Alex. Et sans pitié, il s'enfonça d'un seul coup en elle qui celle -ci se mit à crier très fort, tellement ça lui faisait mal. Elle avait l'impression qu'on arrachait l'intérieur de son cul. Elle en avait les larmes au yeux. Et lui qui continuait en entrer et en sortir. Elle était sûre qu'elle saignait, que quelque chose s'était déchirée en elle. Elle gémissait vraiment de douleur. Et tous les deux bougeaient en elle. Tout en larmes, elle leur suppliait d'arrêter. Elle n'en pouvait plus. Ça faisait trop mal.

Le vieux : - Non mais tu rêves, je suis trop bien dans ton petit cul. Je n'ai plus envie de partir. Je savais bien que tu étais une petite salope. Je suis sure que tu aimes ça. Même si tu me donnais le message, je n'arrêterai pas. J'aime ton cul. Je prends mon pieds tu n'imagines même pas.

Et ça a duré un bon moment comme ça. Éric, qui avait pitié d'elle, de ses larmes, lui serrait sa main. À force son petit trou s'habituait, et elle souffrait moins. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle appréciait cette situation. Alors elle pensait à sa vocation de toute ses forces, et se demandait si tout ça en valait la peine. Mais maintenant c'était trop tard, on l'avait violée, enfin non, on était entrain de la violer, on lui faisait mal, on l'humiliait. Valait-il le déshonneur pour une vocation ?

Enfin, les choses se terminèrent. Le vieux, se retira, et elle en profita de se retirer d'Éric. Elle s'allongea par terre complètement épuisée. Tous les deux se rhabillèrent mais laissèrent Alex à moitié dénudée. De toute façon celle-ci s'en foutait. Alors le vieux lui dit :

  • elle est tenace, mais on arrivera à lui faire cracher le morceau. Si ce n'est pas moi, ça sera quelqu'un d'autre. Et oui ma chère, ton calvaire ne fait que commencer. Éric, va chercher de l'eau pour la demoiselle. Elle doit avoir soif. (c'est ce qu'il fit). Alors tu me le donnes ce messages ? Pour toi les choses s'arrêteront là.

  • Va te faire foutre.

  • Comment oses-tu me parler petite conne ? (il lui donne un violent coup de pied dans les fesses) tu me dois le respect. Peut-être que tu n'as pas aimer ma bite mais peut-être les coups de pieds au cul tu aimes. (et vas-y que je t'en donne d'autres) moi j'adore faire mal aux minettes comme toi. En plus tu n'as pas de chance, le bout de mes chaussures sont en fer.

Elle pleurait de douleur. Elle n'en pouvait vraiment plus. Mais les coups de pieds pleuvaient encore et encore.

Éric vint avec la bouteille d'eau. Il vit que la peau des fesses d'Alex était rouge vif. Le vieux lui suggéra de la faire boire. Éric lui mit contre ses lèvres la goulot de la bouteille sur ses lèvres. Elle put boire quelques gorgées qui lui firent du bien jusqu'à que le vieux prenne la bouteille des mains d'Éric et lui versa l'eau de la bouteille sur son visage en ricanant.

  • c'est comme ça qu'il faut lui donner à boire. Ça la rafraichit et en même temps ça la réveille. Nous ne sommes pas des enfants de coeur éric, tu es trop sentimental. écoute, je vais te laisser un petit moment pour réfléchir. Je vais revenir dans la journée pour voir si tu as changé d'avis. Tu dois avoir faim ma belle. Mais malheureusement pour toi tu ne mangeras que quand je le déciderai et pour l'instant, je n'ai pas envie que tu manges. »

Et il sortit en rigolant fier de lui d'avoir passé un si bon moment.

Éric et elle se trouvèrent seuls. Celui-ci la releva et la prit dans ses bras pour la consoler en lui répétant combien il était désolé mais qu'il n'avait pas le choix surtout que ce type était son supérieur. Il était obligé de faire ce qu'il lui demandait sinon c'était le trou sans boire ni manger pendant quelques jours. Celle-ci apprécia un peu de chaleur humaine. Mais pleura tant qu'elle pouvait tant elle se sentait mal. Et il est vrai que malgré sa souffrance, elle avait terriblement faim. Éric était vraiment un bon gars, car il lui donna une petite barre de chocolat qu'il avait caché sur lui. Elle la mangea très rapidement de peur que quelqu'un d'autre la surprenne entrain de manger.

L'après-midi arriva très vite et le vieux entra dans la pièce. Alex commençait à aller mieux et quand elle le vit, elle recula comme un petit chien apeuré au fond de la pièce en ce recroquevillant sur elle-même.

Celui-ci s'approcha d'elle et lui demande : « alors, tu as peur de moi ? C'est l'effet que je te fais ? Mmm j'aime ça. Tu as raison d'avoir peur de moi. Je n'ai aucune pitié pour toi petite. En plus tu es tellement belle, que j'ai encore envie de te baiser. Éric, casse-toi, je ne veux plus te voir dans le coin. Cette fille est à moi, c'est mon objet sexuel à moi et toi ma belle, je vais faire de toi ce que je veux. Tu m'appartiens totalement. Je t'ai dit de te casser Éric. Je ne lui ferais aucun mal, rassure toi ! Tu peux partir tranquille. » 

une fois parti, il fait un clin d'œil à Alex et lui dit : j'ai menti ! Et la gifle très fort. « tu n'as pas de chance ma belle car je peux te dire que je suis la pire espèce du camp. J'aime le sexe et j'aime violer les jolies filles comme toi. C 'est bête hein ? Bon sérieusement, donne moi le message ou le code. Non ? Tu ne veux toujours pas ? Pfff c'est vraiment décevant. Moi, je t'en remercie car qu'est ce que tu vas prendre ! Je vais aimé ça ! » il la soulève en la tenant debout et la bloquant contre le mur et l'embrasse sur la bouche en rentrant sa langue et se mélangeant à la sienne. Alex était dégoutée, il avait une très mauvaise haleine. Et lui continuait à lui fouiller sa bouche avec sa langue. En plus de ça il bavait beaucoup au point que ça dégoulinait tout le long de son menton. Il lâcha sa bouche et lécha ses joues, son cou... hard063.jpg

« mmm tu es vraiment délicieuse. J'ai oublié de te dire, qu'à midi, c'était un vrai délice ! Ils avaient mis des oignons ! Oui c'est pour ça que j'ai si bonne haleine ! On aurait dit que c'était fait exprès ! Tu vas te régaler ! (la porte s'ouvrit et deux militaires apportèrent une sac et sortirent aussitôt. Enfin voici le matériel que je t'ai particulièrement concocté. Tu vas être ravie ! » Il la lâcha et elle s'affala sur le sol. Elle se demandait ce qu'il lui attendait. Elle fut vite servie ! Il avait des sortes de lanières dans ses mains. Face à elle, il lui commanda de se lever et de se déshabiller. Comme avait des gestes maladroits et qu'elle était plutôt lente, il lui déchira son t-shirt et son pantalon avec une extrême violence. Il était satisfait de ce qu'il voyait. Elle portait des sous-vêtements affriolants vraiment très sexy. « ne me dis pas qu'avec ça tu ne vas pas exciter un mec. Moi en tout cas, tu me fais de l'effet. Je ne vais pas tenir. Faut vraiment que je te prenne. Tu me fais bander. Mais avant tout je dois te préparer » il sortit un très gros couteau et le faisait glisser lentement sur le corps d'Alex. La lame était vraiment grande, il pourrait la tuer s'il voulait. Sa peur l'excitait encore plus. Mais il ne lui fit rien , il l'avait juste sortit pour arracher le soutien gorge. Alex, se retrouva qu'en petite culotte noire dentelle. Celui-ci très entrepreneur lui lécha ses seins et même lui mordit ses tétons. Elle cria de douleur. Il lui posa ses lanières autour de sa poitrine. Ensuite il déchira sa culotte. Il mit deux doigts dans son sexe il lui chuchota dans son oreille : « je te jure que je vais te prendre dans pas longtemps. En plus tu mouilles. Lèche mes doigts. Regarde comme tu mouilles. » il lui mit ses doigts dans sa bouche qui lui laissa quelques secondes. Ensuite, il lui posa d'autre lanières autour de sa taille avec une qui passe entre ses cuisses. Il approcha la chaise, il monta dessus, lui pris ses mains les leva au-dessus de sa tête les attacha l'une contre l'autre et les attacha à un crochet qui était sur le mur.

Ensuite il lui enfila un collier de cuir autour de son cou. soum014.jpg

« mmm comme tu es belle ma petite chienne. » il fouilla dans son sac et revient vers elle avec un gob dont sa taille était impressionnante. Sans la prévenir, il entra ce god en elle et le bloqua avec la lanière qui passait entre ses jambes. « mmm je suis sur que tu aimes ça, ce joujou dans ton con. Ne pleure pas ma belle. Ce n'est pas pour te faire du mal, tu vas aimer ça. Il la tourna contre le mur et de nouveau entra dans son cul en lui donnant pas mal d'accoues. Ça lui déchirait les entrailles et plus il bougeait, plus elle sentait aussi le jouet qui était en elle. Elle n'en pouvait plus. Elle criait de toutes ses forces. Alors pour la faire taire, il lui plaça dans sa bouche une grosse boule en plastique qui tenait avec des lanières autour de sa tête. « maintenant tu te tais, tu me casses les oreilles. » elle entra de nouveau dans son cul. Une fois avoir jouit en elle, il se rattache son pantalon. Il prends les pieds d'Alex, les releva et les posa sur son cou. Il lâcha son sexe, entra sa langue à l'intérieur. Il aspirait son liquide, ça faisait un bruit de succion désagréable. Ensuite il passa sa langue dans son petit trou et le suçait avec conviction. Ensuite il retira son god mais pas tout de suite car il l'entrait et le sortait. Quand il l'entrait , il le mettait en entier. Ça lui faisait mal mais tant pis. C'était un véritable pervers. Quand il eut finit de jouer avec elle, il lui dit : « petite chienne, c'est un véritable régal de jouer avec toi. Mais il faut que tu me donnes ton message » celle-ci lui fit signe de la tête de façon négative.

Il sortit de la pièce en lui disant qu'il revient. Pour la première fois elle se retrouvait seule mais dans une mauvaise posture. En plus elle commençait à avoir froid et avoir mal partout. En particulier ses bras et ses épaules. Quand il revient, il était avec un chien. Un berger allemand. Celui-ci riait et lui dit : « j'ai trouvé un joli chien pour ma petite chienne. Il a déjà enculé des femelles comme toi. Je te jure que c'est vrai. Et je suis sur qu'il va avoir envie de toi. Tu ferais craquer n'importe quel male même lui. » celle-ci essaya de se débattre. S'en en était trop. Jamais elle ne pourrait supporter ce genre d'humiliation «  alors, ça te dirait ? Non ? Alors dis moi le code. Non ? Toujours pas ? Tu serais prête à te faire enculer par un chien ? Bon, je vois que tu es courageuse, je ne vais pas te faire ça, j'ai tout de même des principes ! Mais avoue que tu as eu peur tout de même ! Je crois que pour aujourd'hui tu as assez souffert. Je vais te détacher. Par contre, tu devras te débrouiller à rejoindre ta chambre toute nue, je dois récupérer ce que tu as sur le dos. Comme ça, mes gars verront combien tu es excitante, et ils leur tarderont de te baiser dans notre prochaine séance. Bye , à demain ! »

Il la détacha et l'aida à enlever toutes ses lanières en lui caressant son corps de temps en temps. Puis reparti en lui faisant un bisou dans l'air et en rigolant de plus belle !

Elle réussit à se mettre sur ses pieds comme elle pu et avec crainte et courage sortit de la pièce pour rejoindre sa chambre.

Quand elle fut dehors, elle eu le plaisir de sentir la chaleur du soleil se répandre sur sa peau. Après ce qu'elle venait de subir elle trouva ça plaisant. Mais elle se trouva vite entourée d'hommes qui plaisantaient et qui l'a touchaient voire la bousculer. Elle prit vraiment peur et leur disait de la lâcher. Mais c'était plus fort qu'eux. On lui touchait ses seins , ses fesses. Un mec prit les devants, la bloqua contre le mur de la maison d'où elle venait et lui mettait les mains sur son sexe. Elle voulait partir, qu'on lui laisse tranquille, mais beaucoup de mains la tripotaient. C'est alors qu'une grosse voix gueula de stopper ça tout de suite. Les militaires arrêtèrent aussitôt et reculèrent pour laisser passer Éric. Celui-ci la porta dans ses bras et l'amena dans sa chambre tout en la déposant délicatement sur son lit. Il lui fit une caresse tendre sur la joue, disparut de sa chambre. Celle-ci ne pleura pas, elle avait laisser assez de larmes dans la journée, et décida avec le peu de force qu'il lui restait de prendre une douche.

Quand elle revint toute requinquée, elle trouva un plateau de nourriture encore chaude qu'elle mangea rapidement tellement qu'elle était affamée. Puis elle se coucha. Elle fit pas mal de cauchemar. Dans la nuit entra Éric, qui s'allongea auprès d'elle. Il la prend dans ses bras et s'endormirent comme ça jusqu'au lendemain.

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Par texterotiqueisabelle - Publié dans : espionne
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