Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 13:23

 

Jour 3

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C'est le troisième jour que je supporte toutes ces humiliations. On m'a violé alors que j'étais vierge autant sexuellement qu'au niveau anal. Je commence à m'y faire.

Je sais que ce matin va être encore une journée difficile pour moi mais je vais tenir. Je peux le faire. Heureusement qu'il y a Éric pour me soutenir. Mais je ne sais pas si je peux le regarder du bon ou mauvais œil. Est-ce un ange ou un démon ? Je verrais par la suite. Ce matin, le soleil éclaire ma chambre et je me sens particulièrement bien dans mon lit. Je n'ai pas envie de me lever pour subir des atrocités. Je suis sûre qu'ils vont forcer la dose. En plus je me demande si c'est vraiment légal. Je me rappelle qu'Éric est venu me rejoindre dans mon lit cette nuit. Il m'a serré dans ses bras et rien d'autre. Ça m'a permis de dormir en paix tout en éloignant ces horribles cauchemars.

Je suis dans mon lit et je m'étire de tout mon saoul. Quand tout à coup la porte d'entrée s'ouvre subitement. Deux militaires que je n'ai jamais vu m'ont attrapé et mit un sac en tissu sur ma tête. ils m'ont forcé à me lever tout en attachant mes mains sur mon dos. Je ne savais pas trop où j'allais car j'étais dans le noir complet. Ils me dirigèrent dehors. J'étais pieds nus et heureusement je portais une chemise de nuit blanche qui descendait jusqu'à mes genoux. imagesbk.jpg

On m'amena dans une pièce qui sentait fort le renfermé. Je sentis qu'on m'attachait sur une planche en bois à l'aide d'une corde. Il faut dire que j'avais mes sens en éveil malgré mes craintes. J'avoue ne pas avoir peur. Je commençais à m'y faire toute à cette mascarade ! Mais je redoutais de ce qui pourrait se produire. Je sentis qu'on me couchait sur le ventre avec l'aide de cette fameuse planche. Ensuite on m'écarta de force mes jambes et on me les attacha ainsi. J'attendais des ricanements. Je pense qu'ils se sont aperçut que je ne portais aucun sous vêtements. Si j'avais su ! Quoi que ça n'aurait rien changé. Puis une voix qui ne m'était pas inconnu, celle du vieux vice lard d'hier me dit :

« - alors ma chère ? As-tu réfléchit cette nuit ? Vas-tu me donner ce code ? » je gardais le silence qui voulait dire non. C'est alors qu'on plongea ma tête dans de l'eau. Je ne m'y attendais pas du tout ! En plus elle était vraiment gelée ! Ça n'a pas duré longtemps juste quelques secondes. Mais quand on me la sortit de l'eau,, je m'étouffais, car le sac me collait sur mon nez et ma bouche. Une horreur ! Là grosse panique ! Et le vieux rigolait de tout son soul ! Je toussais à n'en pas finir et essayais de respirer. Mais il me replongea de nouveau ma tête dans cette eau froide. J'avais de l'eau jusqu'au cou. Cette fois-ci il m'y laissa un moment. J'essayais de me débattre et de crier car je cru que mes poumons allaient exploser. Et il me retira. Mais le problème n'était pas résolu car le sac me collait toujours sur mon visage. Je n'en pouvais plus. Je l'entendais ricaner de plus belle. Plus il me toucha mon sexe. Il m'enfonça ses doigts qu'il agita en moi. Et de nouveau dans l'eau. Je sentis qu'il avait mis autre chose en moi. Je ne sais pas quoi. Surement un god. Mais je m'en foutais, car je voulais respirer, me retrouver en air libre. Pendant que j'étais dans l'eau, il faisait joujou avec mon sexe. Je sentais de l'électricité en moi et en même la peur de me noyer. Mon esprit était vraiment mal au point. Je cru que j'allais devenir folle. Et on me sort de l'eau. Je crachais toussais, je ne pleurais même pas, je ne pouvais pas. Je manquais d'air cruellement. Mes poumons me faisaient mal. Mais le vieux n'eut même pas pitié de moi. Il replongea de nouveau ma tête dans l'eau pendant qu'il s'amusait avec mon sexe. Je l'entendais rire d'un rire méchant, ignoble, le rire du diable en personne à te mettre des frissons dans le dos. Il était tellement occupé avec mon sexe, qu'il m'oublia dans l'eau. Mes poumons me brulaient et avala l'eau par les poumons. Je perdu connaissance. 656310908_small_1.jpg

Quand je revins à moi, le sac était enlevé. J'étais encore attachée sur cette planche, les jambes écartées, debout. Au loin, j'ai pu apercevoir plusieurs militaires se marrer entrain de siroter une bière. Je voulais me faire toute petite , qu'ils ne s'aperçoivent pas que j'étais réveillée. Mais une toux horrible me fit cracher de l'eau.

Le vieux vient vers moi : « - alors la belle au bois dormant est réveillée ? Tu veux que je te dise ? Tu es tellement belle, que j'ai envie d'entrer en toi. Je n'ai pas encore eu la possibilité de venir dans ton sexe. Je vais t'essayer. Tient tout de suite »

il s'approcha de moi, me lécha ma joue, m'embrassa goulument. Il avait une haleine aussi horrible que hier. Je me suis aperçue que ses dents étaient pourries. J'en avais la nausée. Et d'un coup il entra en moi. Son pénis était tellement gros qu'il me fit mal. Je me mis à pleurer. Lui, s'éclater en moi. J'attendais ses râles. Il donnait tant d'accoues violents que même la planche sautait. Son affaire finit. Il m'abandonna pour rejoindre ses copains. Mon sexe me brûlait. Ma pause fut de courte pause car les autres militaires vinrent vers moi. Ils touchèrent mon corps par dessous ma chemise de nuit. Le vieux, la déchira et proposa aux autres de m'admirer. Il y en a qui me léchait mes seins, d'autres me mettait leur main dans mes parties intimes. Ils étaient 5. Je crois en avoir reconnu certains qui m'ont embêté hier quand je suis sortie nue.

Je pouvais sentir leur corps, leurs envie, leurs excitations. Ils avaient encore leur bière à la main. D'ailleurs certains me caressaient avec leurs bouteilles. Le froid du verre me donnait des frisson. Alors le vieux s'approcha de mon oreille et me dit : « - si tu ne me donnes pas le code, je te jure que je te laisse à leur merci. Ils feront ce qu'ils voudront de toi. Un mot, et tout s'arrêtera. »

Mais je ne pouvais rien dire, je ne connaissais pas ce message. Cinq hommes excités pour une seule femme attachée et non consentante, qu'est ce que ça va donner ? Je le regardais et je lui dis franchement que je ne pouvais pas l e lui dire et je cherchais un peu de compassion dans ses yeux mais j'en en vis pas. Je vis au contraire un monstre, qui s'éclatait. Je crois que je suis vraiment tombé sur le pire. Alors il s'adresse à ses amis : «  elle est belle cette fille, n'est ce pas ? Mais ce n'est pas une fille comme les autres, c'est une chienne, une pute qui aime le sexe. Vous pouvez faire d'elle ce que vous voulez, elle est à vous. Autant dans son cul que dans sa chatte, vous pouvez lui mettre ce que vous voulez. » je criais non. Il me mit un foulard dégueulasse dans ma bouche pour me faire taire. Je n'avais que mes yeux pour pleurer. Quand un mec s'approche de moi et me dit : «  ah oui ? Ce qu'on veut, je te jure que ce n'est dans entrer dans les oreilles d'un sourd » et d'un coup me mit sa bouteille de verre de bière dans mon sexe. Je voulu crier mais le foulard m'en empêchait. Comme j'avais les mains attachées au dessus de moi, un autre m'enleva la planche. Je me retrouvais les bras et le jambes écartées avec une bouteille dans ma chatte. En plus, il n'allait pas doucement. Il me l'enfonçait avec une telle brutalité ! Celui qui m'a enlevé la planche entra en moi mais par mon cul. Les autres en me touchant, se masturbaient. Leur pénis se frottaient sur ma peau. Je regardais le plafond pour ne pas penser à ce que je subissais. Il y en a un qui s'en est rendu compte. Il demanda aux autres s'ils pouvaient pas m'allonger pour qu'ils puissent mieux profiter de moi et mettre quelques bites dans ma bouche. Ils furent évidemment tous d'accord.

Donc ils me détachèrent et je tombais subitement car je n'avais plus aucune force tellement que mes muscles étaient anquilosés par cette mauvaise position. Ils m'allongèrent mais ils m'attachèrent dans la même position que quand j'étais debout. Je me suis aperçue que c'était une salle avec des crochetrousse092.jpgs et des cordes de partout. En plus je suis sûre que ce n'est pas pour m'empêcher de fuir mais pour que j'ai une position adéquate afin qu'ils me profitent de moi comme ils veulent.

Du coup on m'enleva la bouteille et un mec se coucha sur moi et entra dans moi. Un autre me tourna sur le côté avec l'aide de celui qui était en moi et me pénétra dans mon anus. J'avais deux sexes en moi. Et un troisième se mit à genoux et me mit mon sexe dans ma bouche. Il tenait une poignée de mes cheveux et m'obligea de bouger ma tête pour me le sucer. Il trouvait tellement bon, qu 'il jouit dans ma bouche. Un autre prit sa place. En fait dès qu'il y en avait un qui jouissait en moi, dans ma bouche, il y avait un autre qui prenait sa place. Et le plus pervers, pendant qu'un prenait sa place me renfonçait sa bouteille en moi. J'avais du sperme partout sur mon corps ainsi que mon sang. En plus comme j'étais par terre, j'étais toute poussiéreuse. Je me sentais sale dans tous les sens du termes.

Et puis tout d'un coup, tout s'arrêta. Les mecs partirent et me laissèrent en plan par terre dans cette mauvaise position. Il y en a un qui revient, je pensais que c'était pour me libérer, mais non, il me lança l'eau de la bassine d'eau froide sur mon corps puis me dit : «  regarde-toi salope, tu es sale. Une fille comme toi devrait rester chez maman. Mais non tu préfères faire la pute chez les militaires. Nous avons beaucoup de chance de t'avoir, on commençait à s'ennuyer et manquer de femme. Je me casse, le devoir m'appelle. Tu es vraiment trop bonne. » et il partit !

Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça. J'ai cru qu'on m'avait oublié. Mais non, le vieux revint entrain de manger : « mais que fais-tu dans cette position ? Tu me veux de nouveau c'est ça ? Tu me montres ton petit minou mais, je ne peux pas résister moi. »

Il vient, posa son sandwich juste sur mon nez et me caressa. Ça recommençait ! Je n'en pouvais plus. J'avais mal au plus profond de moi à mon sexe. Il vint entre mes cuisses et se mit à me lêcher. Même si je détestais ce mec, j'avoue que ça me faisait du bien. Ça me rafraichissait, et me soulageait de mes blessures que j'ai eu à cause de cette maudite bière. Il resta longtemps à le lécher. Il tournoyait sa langue autour de mon petit bouton, qui me faisait gémir de plaisir. Ensuite il entra se langue en moi. Je la sentais bouger comme un petit vermisseau. Un vrai délice ! Il jouait à me donner du plaisir car il savait que ça n'allait pas durer longtemps. D'ailleurs il s'arrêta et s'enfonça en moi mais cette fois-ci très délicatement. Un vrai gentleman ! Ça me faisait bien rire ! Qu'est ce qu'il cherchait après m'avoir malmenée, violentée ? Il avait sa bouche contre mon oreille et je le sentais respirer. Il sortit mais j'ai su que ce n'était pas finit. Il me détacha entièrement. Il se remit entre mes cuisses et de nouveau s'enfonça en moi. Il voulait peut-être que je le prenne dans mes bras ? Que je le câline? Que je me cambre pour lui donner plus de plaisir ? Malgré moi, c'est ce que je fis. Je bougeais en même temps que lui. Dans l'assaut, il m'enleva le chiffon de la bouche et m'embrassa comme un amoureux. Malgré mon dégoût, je fis de même. Je pris aussi du plaisir dans ses bras et on jouit ensemble. Je n'en revenais pas, j'ai fait ce qu'il a voulu. J'étais soumise. J'étais à lui. C'était le diable en personne, et je lui appartenais ! C'est à peine croyable. Il me regarda dans les yeux (il était encore en moi) en souriant, triomphant en me disant que la journée était finie, que j'en avais assez subit aujourd'hui. Il m'entoura de ma chemise de nuit déchirée et m'amena dans ma chambre. Une fois seule j'accours dans ma douche m'enlever cette souillure. J'étais épuisée, affamée, et morte de honte. En plus mon sexe me faisait horriblement mal. J'avais beaucoup saignée. Et je me demande si ce n'était du verre cassé qu'ils ont mit en moi. 1225218492_sexy_couple.jpg

Éric ouvrit la porte sans frappé avec un plateau repas. Je lui ai demandé où il était mais celui-ci me répondit qu'on lui avait interdit de rester auprès de moi car ils se sont rendu compte qu'on était trop proche. Il avait posé le plateau repas sur une table pendant que j'étais encore à la douche. Avec un grand culot, il se déshabilla et me rejoint. Entreprenant, il était très doux avec moi. Il me caressait, m'embrassait, et m'aida à me laver. J'étais comme une petite fille dans ses bras. Une fois lavée, et sèche, il me transporta sur le lit et voulu me faire l'amour. Mais je n'ai pas pu accepter tellement que j'avais mal. Il examina mes blessures. Me dit que c'était vraiment superficiel. Sans m'écouter, en reniant mes non, il s'enfilant en moi. Un vrai délice ! Je ne sentais même plus la douleur. On fit l'amour un petit moment.

Ensuite je pus enfin manger. On me laissa l'après-midi de libre où j'ai pu me reposer et enfin dormir.

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Par texterotiqueisabelle - Publié dans : espionne
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