Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 20:22

 

Jour 5

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Étrangement, quelqu'un frappa à ma porte. Jusqu'à maintenant, les gens entraient sans frapper ! C'était le matin et j'ai passé vraiment une bonne nuit du je pense à la drogue qu'ils m'ont donné. C'était la femme dont j'ai fait sa connaissance la veille. Elle entra dans ma chambre avec sourire comme si on était de bonne copine. Elle se présenta à moi. Elle s'appelait Claire. Elle me demanda de mes nouvelles. Je lui réponds que j'allais très bien. J'avoue que je me méfiais d'elle comme la peste. Quand elle me parlait elle me touchait souvent les épaules, mes bras... je reculais à chaque contact de sa part. Je savais ce dont elle était capable. Par contre ce qui me troubla est qu'elle m'avoua qu'elle aimait les hommes autant que les femmes. Et que je lui plaisais beaucoup. Je lui ai fait comprendre que je n'étais pas intéressée. Mais elle s'en foutait. Elle m'embrassa comme un mec. Elle avait des lèvres très douces, chaudes agréables. Je fis tout d'abord surprise, je ne m'y attendais pas mais je me laissais faire. Elle releva mon t-shirt et caressa ma poitrine. Elle adorait passer son doigt à travers les anneaux. Moi ça me faisait mal étant donné que ce n'était pas encore cicatris 71229m1w1-copie-1.jpg é. Elle s'enleva son t-shirt et colla sa poitrine contre la mienne. Il faut dire qu'elle ne portait pas de sous vêtement. Ni soutien gorge ni culotte. Je le sus à mes dépends car elle glissa ma main sous sa jupe et j'ai eu un contact direct avec son sexe. Elle lu ma surprise et m'avoua qu'ici les gens aimait sauter tout ce qui bouge et que c'était plus pratique comme ça quand un homme voulait la baiser. D'ailleurs, elle aimait beaucoup ça.  Ces propos me laissèrent pantoise. Elle m'enleva mon jean, ma culotte. On s'allongea sur le lit, et frotta son sexe contre le mien. C'est une sensation toute nouvelle pour moi et étrangement, j'aimais ça. Elle mit sa main dans mon sexe, c'était vraiment l'extase ! Elle me caressait de l'intérieur. C'était aussi bon bon qu'un sexe masculin. Alors je lui fis la même chose. On se fit plaisir un bon moment comme ça. Elle lécha aussi mon petit minou. Elle savait vraiment s'y faire. Je voulais lui rendre la pareil, alors elle me guida. Elle prit ma tête entre ses mains, elle me la guida sur son sexe. Elle serra ses cuisses sur ma tête pour ne pas que je la sorte. 

« Maintenant, tu lèches mon sexe avec ta langue. Je veux que tu le lèches toute la longueur. Oui comme ça. Tu vois, devant j'ai un petit bouton passes-y ta langue. Prend le aussi entre tes lèvres. Embrasse le. Maintenant, tu vas enfoncer ta langue à l'intérieur. Écarte bien mes lèvres. Enfonce la bien à fond. Remue la à intérieur. C 'est délicieux. J'aime ce que tu me fais. Continue comme ça. Maintenant, aspire mon humidité. Regarde comme je mouille. c'est bien ma belle. Recommence à me lécher. Je vois que tu es très douée ! »

Quand enfin, elle me libéra de ses jambes, je viens vers ses lèvres pour l'embrasser pour la caresser, lui prendre ses seins dans ma bouche. On fit l'amour comme ça. Je ne pensais pas qu'un jour je ferais l'amour à une femme. En plus elle était vraiment belle.

Une fois finie, épuisée, elle se rhabilla, et me donna un sac en me disant que je devais me mettre ça sous mes vêtements. Quand je l'ouvris, j'étais horrifié. C'était encore ces fameux colliers en cuir de l'autre lesbienne.jpg jour. Je lui supplie que je ne voulais pas me mettre ça. Mais elle me répondit en m'embrassant que je n'avais pas le choix, c'est le chef qui l'exigeait. Je ne savais pas mettre ça, alors elle m'aida. Elle me passa le collier en cuir et le collier qui entourait mes seins. Ensuite elle m'aida à mettre ses belles cuissardes noires en talon aiguille. Elle me fait mettre aussi un  string noir en dentelle. Et par dessus je m'enfile une jupe et un t-shirt.  

Elle m'accompagna dans la salle de torture habituelle. Étonnamment, je n'avais pas peur. Je m'attendais au pire. Mon corps s'habituait à la douleur et au sexe.

Le vieux se trouvait à l'intérieur. Il m'attendait. Quand il me vit, il me demanda très gentiment, de me déshabiller et de me mettre en condition. J'acceptais sans discuter. Claire sortit de la pièce et une dizaine d'hommes entrèrent. Ils se mirent l'un derrière l'autre. Ils se déshabillèrent tous. Ils bandaient tous. Je les regardais et je les trouvais beaux. Je n'ai pas pu les admirer plus longtemps car le vieux militaire me passa une chaine dans les anneaux de ma poitrine et tira de toute ses forces pour me faire mettre à genoux. Ça m'a fait un mal de chien. Ça a même saigné ! Mais je m'en foutais de la douleur, j'en avais l'habitude. Donc je me mis à genoux et il me tira comme une chienne. Il m'amena devant ces hommes et me commanda de faire une pipe à chacun des hommes. Et ben, vous me croirez pas si je vous dis que je l'ai fait volontiers. Je les ai tous pris dans ma bouche chacun son tour. Et même j'avalais leur semence. Pendant je m'occupais d'un, un autre se permettait de me prendre par derrière. C'était délicieux. J'étais vraiment excitée et si je pouvais j'en demanderais d'autre. Je voulais pleins de bites dans ma bouche, dans mon sexe, dans mon cul. Quel pied ! Ils avaient réussi à me rendre folle de sexe. Il y en avait un qui m'a écrasé sa clope sur ma peau. Même pas mal ! Ce jour là, j'ai tout supporté et je peux dire que leur message, même si je le hard057.jpg connaissais, ils pouvaient se le mettre dans le cul ! Même si mon cul devait supporter pleins de bites. Plus j'en avais, plus j'en voulais ! Le vieux était bien embêté car je supportais tout ! Je hurlais même de plaisir ! Les mecs aussi d'ailleurs, ils disaient que j'étais bonne ! Je ne leur aurais pas dit le contraire car quand j'avais un sexe dans la bouche, je m'appliquais à ce qu'ils prennent leur pied. Et quand j'avais une bite dans moi la plupart grosse, je me cambrais tant que je pus ! C 'était une vrai partouze ! Vingt mecs pour une seule fille ! Des bites comme il en pleuvait ! Je suis sûre que pleins de filles rêveraient de ce moment ! J'ai vu même des mecs se sodomiser. Ça faisait bizarre, mais j'aime bien les regarder. Ça m'excitait encore plus. Dommage que j'ai attendu maintenant pour avoir des relations sexuelles. Je ne savais pas que c'était si bon !

Alors le vieux, prit une tige en ferraille brulante avec un symbole et la plaqua sur ma peau. Je hurlais ! Mais tant pis je continuais à faire des pipes. Je me foutais de tout ! Moi qui était si sensible à la douleur. N'empêche j'ai passé la journée à jouer avec le sexe de pleins hommes et je les laissais jouer avec le mien. partouze.jpg

 

Dégouté, le vieux, me ramena à quatre pattes tirée de cette chaîne devant tout le monde dans ma chambre. Il me poussa avec une grande violence dans ma chambre. Il était vraiment furax de l'avoir ridiculiser. Mais je n'ai pas vu qu'il avait une cravache dans sa main. Il me fouetta autant qu'il pu. Mon corps était marqué de partout. Je ne pleurais pas, je ne suppliais même pas. Alors il me viola, je lui appartenais entièrement. Et il me laissa à terre dégouté. Je ne pleurais pas. Je n'en avais même pas envie. Je ne sais pas si c'est de la folie, mais je me mis à éclater de rire. Je n'arrivais pas à m'arrêter. Ensuite je m'allongea dans mon lit. Je regardais le tatouage, qui me brûlait et c'était un serpent magnifique. En plus je l'avais à proximité de mon triangle. Je laissais le temps passer jusqu'au lendemain matin.

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Dimanche 24 mars 7 24 /03 /Mars 14:14

 

Jour 4

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Il était encore très tôt, Alex dormait encore. Quand soudain elle fut réveillée par une douleur atroce au niveau du rectum. Elle se réveilla complètement affolée. En fait c'était le vieux soldat qui la sodomisait. Il a profité qu'elle dorme pour la violer. Elle ne pu se défendre car il la tenait fermement à la taille contre lui, en mettant son autre main sur sa bouche afin qu'elle ne hurle pas. Elle l'entendait grogner à chaque accoues. Elle souffrait le martyre. Elle pu enfin lui mordre sa main férocement ce qui le fait hurler. Mais resta tout de même en elle. Elle profita de se relâchement pour s'enfuir dans un coin de la chambre complètement apeurée et en larme.

« - La salope, elle m'a mordu ! Mais qu'est ce qu'il t'es passé dans la tête ? Tu aimes ça d'habitude !

  • casse toi, gros porc, hors de ma vue

  • sais-tu à qui tu parles ? Sais-tu que c'est moi qui tient les rênes ? C'est moi qui décide quelles tortures choisir ? Si tu me rejettes, tu ne peux savoir combien tu vas souffrir ma belle. Je peux être très méchant. Allez, vient à moi, je te veux. Tu es belle, je t'aime.

  • Allez-vous en.

  • Ok, je m'en vais.... tu vas me le payer très cher petite pute »

Et il partit la laissant seule dans ses peurs et ses angoisses.

Elle se sentait sale par ce qu'il venait de se passer. Alors elle alla prendre une douche. Dans la douche, elle fit couler l'eau chaude sur el femme_213.jpg le. Elle se sentit bien. Elle avait besoin de savoir si son corps lui appartenait encore. Elle se caressa les seins, son ventre, son cou, ses cuisses et enfin  son sexe si blessé par ses brutes. Elle ne vit pas l'ombre qui l'observait.   Elle mit sa main entre ses jambes. Elle enfonça un doigt à l'intérieur et découvrit qu'elle pouvait aussi se donner du plaisir. Elle s'entendit soupirer. Elle s'assit dans le bac de sa douche et continua l'exploration de son sexe. Plus que sa fente, elle découvrit un petit bouton. Quand elle y passa la main, elle sentit un drôle de sensation plutôt agréable. Donc elle insista et ne pu que gémir de bonheur. Oui maintenant elle savait que son corps était encore à elle et qu'elle pouvait se donner du plaisir. Elle leva la tête et vu une main qui tenait le rideau de sa douche et une autre qui remuait à toute vitesse. Elle cria ; « qui êtes vous ?

  • c'est moi Éric, je t'ai observé et tu vois, tu m'as fait bander. N'aie pas peur. J'arrive. »

Rassurée, elle l'invita à entrer dans la douche. Elle allait se relever mais celui-ci l'en empêcha. Il entra son doigt en elle avec des va et vient. C'était si bon ! Il s'accroupit et lui demanda de lui faire une petit gâterie. Elle accepta. Elle prit le sexe d'Éric dans sa main et le mit dans sa bouche. Elle suça tout d'abord le gland comme si c'était une petite sucette. Puis elle passa sa langue plusieurs fois tout le long de son pénis. Ensuite, elle enfonça son sexe jusqu'à ses amygdales et l'aspirant. Et elle força sur le sexe avec ses lèvres en lui faisant des va et vient. Lui pendant ce temps il continua à lui titiller sa petite chatte. Il lui dit de se mettre à quatre pattes et ce qu'elle fit. Il la pénétra avec douceur. Elle adorait ça. C'était si bon de sentir un homme doux, qui ne veut pas te faire du mal. Ensuite il se retira, et lui demanda de s'assoir les jambes écartées. Il se mit à quatre pâtes entre ses jambes et mit à lécher la sexe d'Alex. 1225218485_sexy_couple.jpg Il commença à lécher ses lèvres, et à lui titiller son bouton. Elle adorait cette sensation. Ensuite, il enfonça sa langue carrément en elle. Elle cambrait son dos, et jouit de plaisir. Il la lécha encore un petit moment. Il voulait qu'elle aussi lui fasse une fellation. Alors il eu une idée. Il l'amena sur le lit et l'allongea. Il se mit sur elle mais sa tête sur la chatte d'Alex et son pénis du côté du visage d'Alex. Ce qui fait que chacun a pu prendre soin l'un de l'autre. Alex avait le pénis d'Éric dans sa bouche et Éric léchait la chatte d'Alex. Ils purent jouir tous les deux ensemble. Surtout Éric qui jouit dans la bouche d'Alex. 

 

Après ce moment intime, Éric se rhabilla et demanda à Alex d'en faire autant car c'était l'heure du petit déjeuner et que la journée de travail allait commencer. Donc elle s'habilla et Éric l'amena dans une cantine où elle pu manger copieusement. Elle reconnu dans la salles les hommes qui l'avait violentée. L'un deux s'approcha d'elle, et prit ses seins en pleines mains en ricanant en lui demandant si elle avait bien aimé la petite fiesta de l'autre jour. Elle cherchait le regard d'Éric à l'aide. Celui-ci était visiblement en colère. Il se leva et donna un coup de poing à ce type. Celui-ci vacilla surprit et se rassoit en s'excusant. Ça avait jeté un froid et tout le monde mangea en silence. Mais le vieux entra dans la cantine et fut satisfait de la voir. Il lui commanda de le suivre. Une fois à l'extérieur, il la prit par les cheveux violemment et l'a fit entrer dans la casa de la veille.

« - maintenant à nous deux. Tu te laisse baiser par Éric mais par moi, tu refuses ? C'est bien ça ? Et bien tu vas me le payer. » Il restait encore la chaise de la veille. Il poussa violemment Alex dessus et lui arracha ses vêtements. Celle-ci en avait marre de se laisser faire et se débattait tant qu'elle pu en lui suppliant de lui foutre la paix et qu'elle ne voulait plus le voir.

« - très bien, ma belle, je vais appeler quelqu'un d'autre ! Je reviens » il partit en la laissant seule. Elle voulu fuir mais la porte était fermée à clef. Elle n'avait qu'une seule solution : attendre. En tout cas elle était fière d'elle de lui avoir tenu tête. Quelques instants après, le vieux soldat, revient dans la pièce accompagné d'une femme. Elle était coiffée d'un chignon, sans aucune mèche qui dépasse. Elle avait l'air très stricte.

Celle-ci se dirigea vers elle et lui dit : « alors ma belle blonde, on ne veut plus coopérer ? Tu sais que tu es en plein entrainement ? Qu'on ne peut plus te laisser partir sans l'avoir fini ?et que tu as signé pour qu'on puisse te faire ce que l'on veut de toi ?alors maintenant tu vas fermer ta grande gueule, et tu te laisses faire à moins que tu nous dises ce qu'il y avait inscrit dans le lettre. Non ? Et bien ma belle, on va s'amuser ! J'aime beaucoup les minettes comme toi. ( se tournant vers le vieux) attaches la veux-tu ? Je vais me préparer. »

Pendant qu'il lui attacha les mains dans son dos, la femme se détacha ses cheveux et enleva ses vêtements pour se retrouver nue. Elle s'assit les jambes écartées et embrassa goulument Alex sur les lèvres. Elle demanda au vieux de venir et de « l'embrocher ». il baissa son pantalon et la baisa, tout ça sur les genoux d'Alex. Ça en devenait répugnant. Surtout que la bonne femme prenait son pied. Pendant qu'elle se faisait prendre, la femme donna un grand coup de langue sur la joue d'Alex, avec ses mains, elle serra ses joues et entra sa langue dans la bouche tout en la farfouillant et en cherchant la langue d'Alex. Ensuite elle finit de lui déchirer son t-shirt, et libéra sa poitrine. Il est vrai qu'Alex avait une grossepoitrine. La bonne femme prit un de ses seins dans sa bouche et lui mordit très fort la pointe, mais tellement fort, qu'on pouvait voir la marque de ses dents.

Mais Alex criait très fort, elle criait pour la douleur mais aussi qu'elle en avait marre, que son corps était à elle. Elle se débattait comme une furie. Le couple voyant cela, ce regardèrent complices. Ils arrêtèrent leur accouplement. La bonne femme prit une seringue de son sac à main et la pointa devant le visage d'Alex. Celle-ci se calma complètement affolée. Elle détestait les piqûres. Elle en avait une peur bleue. Elle se mit à supplier qu'elle se laisserait faire,mais pas de piqûre. Quand la bonne femme comprit la peur bleue d'Alex,sourit et lui dit : «  ma belle va falloir que tu apprennes à ne pas avoir peur de quoi que ce soit. Sinon, ce sera l'échec pour toi. Ce qu'il y a dans cette seringue, est inoffensif, juste une petite drogue, qui te permettra à supporter tout ça et à ce que tu sois coopérative »

Elle demanda à son complice de la tenir bien fort. Celle-ci la piqua juste à l'extrémité de son sein. Aiguille008.jpg Elle ne vida que la moitié de la seringue. Elle refit une autre piqûre à l'autre extrémité de son autre sein. Alex n'a jamais connu une douleur aussi horrible. Elle hurlait tant qu'elle pu. Ses cheveux étaient humides de transpiration. Elle se sentie partir mais sans s'endormir. Le couple l'allongèrent sur un vieux matelas. Et là ils firent sa fête. La bonne femme lui enleva son pantalon et sa culotte. Elle lui lécha tout son corps à grand coup de langue. Elle lécha son visage, son cou, ses seins, son ventre en descendant vers son sexe. Puis les cuisses et enfin elle s'occupa de son entre jambes. Elle lui écarta ses cuisses et la lécha tant qu'elle pu tout en lui mordillant son sexe. Elle lui faisait assez mal mais Alex ne pouvait répliquer qu'avec de faibles plaintes. Par contre le vieux la tourna. La bonne femme intéressée, lui lécha aussi l'anus en entra sa langue dedans. Ensuite elle s'accroupit sur elle et lui pissa dessus, en particulier sur son visage en lui tenant bouche ouverte. Celle-ci ricanait comme une sorcière. Enfin le vieux la sodomisa très violemment avec une haine inimaginable. La bonne femme sortie un god, elle mit un bout dans son propre sexe et l'autre dans le sexe d'Alex. Sexe contre sexe, elles se faisaient plaisir. Alex étrangement appréciait cela mais ça aurait été mieux sans que ce vieux con la sodomise. C'est sûr qu'on s'occupait d'elle !

Ensuite le type sortit d'elle et mit son penis dans la bouche d'Alex. Il sentait vraiment mauvais, normal, il était dans son anus. Elle vomit tout ce qu'elle avais déjeuné. Le problème est qu'elle était endormie, et qu'elle failli s'étouffer avec. Ils ont du la mettre sur le côté pour que ça n'arrive pas. Mais sans aucune pitié il recommença à lui mettre son sexe dégueulasse dans la bouche d'Alex et l'obligea à le sucer. Ensuite, la bonne femme une fois avoir jouit, elle prit deux anneaux et une pince . Elle obligea au vieux d'arrêter et c'est elle qui l'embrassa. Ensuite elle demanda au vieux de la prendre. Alors il mit les deux jambes d'Alex autour de son cou, et la prit. La femme, en profita pour percer les tétons d'Alex . La douleur fut-elle qu'Alex tomba dans les pommes. anneaux-a-seins-penis-gold-3747506.png Mais le vieux continua à bouger en elle. La bonne femme lui ordonna de s'arrêter car elle était évanouit. Il n'écoutait rien, il continuait. Le corps d'Alex bougeait comme une poupée de chiffon jusqu'à ce qu'il eut jouit. Visiblement, la bonne femme était en colère. Ce n'était pas dans leur principe. C'était de l'abus.

Quand Alex se réveilla, elle était dans son lit toute propre, dans les draps. Elle se sentait un peu vaseuse. Elle se demandait si ce qu'elle venait de subir n'était pas un rêve. Mais quand elle voulu se lever, elle compris que ce n'était pas le cas, car elle vit les deux anneaux sur ses seins. Elle n'osait pas les enlever car elle craignait avoir mal. Ils étaient tout de même assez gros et ça l'inquiétait. Elle préférait de ne plus y penser.

Éric fit son apparition quelques temps après. Elle était toujours dans son lit. Il voulu s'installer auprès d'elle mais elle refusa. Elle préférait cacher son corps. Il est vrai qu'en plus ses anneaux, elle était couverte de bleus surtout à l'entre jambe. Elle ne voulait pas qu'Éric la voit comme ça. Elle se sentait moche. Il s'approcha tout de même d'elle en la rassurant. Il lui caressait les cheveux. Il lui enleva les draps et fut horrifié quand il vit ses horribles anneaux et connaissait exactement leur utilité. Il avait pitié d'elle et lui proposa de s'enfuir de cette caverne. Elle refusa net. Elle n'avait pas subit ses atrocités pour rien. Elle devait continuer. Il la pria d'abandonner, lui expliqua qu'elle pouvait trouver un autre emploi plus intéressant mais elle ne changea pas d'avis. Il pleura pour elle, et il sortit de sa chambre. 401392_437235386367095_1591536614_n.jpg

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Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 13:23

 

Jour 3

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C'est le troisième jour que je supporte toutes ces humiliations. On m'a violé alors que j'étais vierge autant sexuellement qu'au niveau anal. Je commence à m'y faire.

Je sais que ce matin va être encore une journée difficile pour moi mais je vais tenir. Je peux le faire. Heureusement qu'il y a Éric pour me soutenir. Mais je ne sais pas si je peux le regarder du bon ou mauvais œil. Est-ce un ange ou un démon ? Je verrais par la suite. Ce matin, le soleil éclaire ma chambre et je me sens particulièrement bien dans mon lit. Je n'ai pas envie de me lever pour subir des atrocités. Je suis sûre qu'ils vont forcer la dose. En plus je me demande si c'est vraiment légal. Je me rappelle qu'Éric est venu me rejoindre dans mon lit cette nuit. Il m'a serré dans ses bras et rien d'autre. Ça m'a permis de dormir en paix tout en éloignant ces horribles cauchemars.

Je suis dans mon lit et je m'étire de tout mon saoul. Quand tout à coup la porte d'entrée s'ouvre subitement. Deux militaires que je n'ai jamais vu m'ont attrapé et mit un sac en tissu sur ma tête. ils m'ont forcé à me lever tout en attachant mes mains sur mon dos. Je ne savais pas trop où j'allais car j'étais dans le noir complet. Ils me dirigèrent dehors. J'étais pieds nus et heureusement je portais une chemise de nuit blanche qui descendait jusqu'à mes genoux. imagesbk.jpg

On m'amena dans une pièce qui sentait fort le renfermé. Je sentis qu'on m'attachait sur une planche en bois à l'aide d'une corde. Il faut dire que j'avais mes sens en éveil malgré mes craintes. J'avoue ne pas avoir peur. Je commençais à m'y faire toute à cette mascarade ! Mais je redoutais de ce qui pourrait se produire. Je sentis qu'on me couchait sur le ventre avec l'aide de cette fameuse planche. Ensuite on m'écarta de force mes jambes et on me les attacha ainsi. J'attendais des ricanements. Je pense qu'ils se sont aperçut que je ne portais aucun sous vêtements. Si j'avais su ! Quoi que ça n'aurait rien changé. Puis une voix qui ne m'était pas inconnu, celle du vieux vice lard d'hier me dit :

« - alors ma chère ? As-tu réfléchit cette nuit ? Vas-tu me donner ce code ? » je gardais le silence qui voulait dire non. C'est alors qu'on plongea ma tête dans de l'eau. Je ne m'y attendais pas du tout ! En plus elle était vraiment gelée ! Ça n'a pas duré longtemps juste quelques secondes. Mais quand on me la sortit de l'eau,, je m'étouffais, car le sac me collait sur mon nez et ma bouche. Une horreur ! Là grosse panique ! Et le vieux rigolait de tout son soul ! Je toussais à n'en pas finir et essayais de respirer. Mais il me replongea de nouveau ma tête dans cette eau froide. J'avais de l'eau jusqu'au cou. Cette fois-ci il m'y laissa un moment. J'essayais de me débattre et de crier car je cru que mes poumons allaient exploser. Et il me retira. Mais le problème n'était pas résolu car le sac me collait toujours sur mon visage. Je n'en pouvais plus. Je l'entendais ricaner de plus belle. Plus il me toucha mon sexe. Il m'enfonça ses doigts qu'il agita en moi. Et de nouveau dans l'eau. Je sentis qu'il avait mis autre chose en moi. Je ne sais pas quoi. Surement un god. Mais je m'en foutais, car je voulais respirer, me retrouver en air libre. Pendant que j'étais dans l'eau, il faisait joujou avec mon sexe. Je sentais de l'électricité en moi et en même la peur de me noyer. Mon esprit était vraiment mal au point. Je cru que j'allais devenir folle. Et on me sort de l'eau. Je crachais toussais, je ne pleurais même pas, je ne pouvais pas. Je manquais d'air cruellement. Mes poumons me faisaient mal. Mais le vieux n'eut même pas pitié de moi. Il replongea de nouveau ma tête dans l'eau pendant qu'il s'amusait avec mon sexe. Je l'entendais rire d'un rire méchant, ignoble, le rire du diable en personne à te mettre des frissons dans le dos. Il était tellement occupé avec mon sexe, qu'il m'oublia dans l'eau. Mes poumons me brulaient et avala l'eau par les poumons. Je perdu connaissance. 656310908_small_1.jpg

Quand je revins à moi, le sac était enlevé. J'étais encore attachée sur cette planche, les jambes écartées, debout. Au loin, j'ai pu apercevoir plusieurs militaires se marrer entrain de siroter une bière. Je voulais me faire toute petite , qu'ils ne s'aperçoivent pas que j'étais réveillée. Mais une toux horrible me fit cracher de l'eau.

Le vieux vient vers moi : « - alors la belle au bois dormant est réveillée ? Tu veux que je te dise ? Tu es tellement belle, que j'ai envie d'entrer en toi. Je n'ai pas encore eu la possibilité de venir dans ton sexe. Je vais t'essayer. Tient tout de suite »

il s'approcha de moi, me lécha ma joue, m'embrassa goulument. Il avait une haleine aussi horrible que hier. Je me suis aperçue que ses dents étaient pourries. J'en avais la nausée. Et d'un coup il entra en moi. Son pénis était tellement gros qu'il me fit mal. Je me mis à pleurer. Lui, s'éclater en moi. J'attendais ses râles. Il donnait tant d'accoues violents que même la planche sautait. Son affaire finit. Il m'abandonna pour rejoindre ses copains. Mon sexe me brûlait. Ma pause fut de courte pause car les autres militaires vinrent vers moi. Ils touchèrent mon corps par dessous ma chemise de nuit. Le vieux, la déchira et proposa aux autres de m'admirer. Il y en a qui me léchait mes seins, d'autres me mettait leur main dans mes parties intimes. Ils étaient 5. Je crois en avoir reconnu certains qui m'ont embêté hier quand je suis sortie nue.

Je pouvais sentir leur corps, leurs envie, leurs excitations. Ils avaient encore leur bière à la main. D'ailleurs certains me caressaient avec leurs bouteilles. Le froid du verre me donnait des frisson. Alors le vieux s'approcha de mon oreille et me dit : « - si tu ne me donnes pas le code, je te jure que je te laisse à leur merci. Ils feront ce qu'ils voudront de toi. Un mot, et tout s'arrêtera. »

Mais je ne pouvais rien dire, je ne connaissais pas ce message. Cinq hommes excités pour une seule femme attachée et non consentante, qu'est ce que ça va donner ? Je le regardais et je lui dis franchement que je ne pouvais pas l e lui dire et je cherchais un peu de compassion dans ses yeux mais j'en en vis pas. Je vis au contraire un monstre, qui s'éclatait. Je crois que je suis vraiment tombé sur le pire. Alors il s'adresse à ses amis : «  elle est belle cette fille, n'est ce pas ? Mais ce n'est pas une fille comme les autres, c'est une chienne, une pute qui aime le sexe. Vous pouvez faire d'elle ce que vous voulez, elle est à vous. Autant dans son cul que dans sa chatte, vous pouvez lui mettre ce que vous voulez. » je criais non. Il me mit un foulard dégueulasse dans ma bouche pour me faire taire. Je n'avais que mes yeux pour pleurer. Quand un mec s'approche de moi et me dit : «  ah oui ? Ce qu'on veut, je te jure que ce n'est dans entrer dans les oreilles d'un sourd » et d'un coup me mit sa bouteille de verre de bière dans mon sexe. Je voulu crier mais le foulard m'en empêchait. Comme j'avais les mains attachées au dessus de moi, un autre m'enleva la planche. Je me retrouvais les bras et le jambes écartées avec une bouteille dans ma chatte. En plus, il n'allait pas doucement. Il me l'enfonçait avec une telle brutalité ! Celui qui m'a enlevé la planche entra en moi mais par mon cul. Les autres en me touchant, se masturbaient. Leur pénis se frottaient sur ma peau. Je regardais le plafond pour ne pas penser à ce que je subissais. Il y en a un qui s'en est rendu compte. Il demanda aux autres s'ils pouvaient pas m'allonger pour qu'ils puissent mieux profiter de moi et mettre quelques bites dans ma bouche. Ils furent évidemment tous d'accord.

Donc ils me détachèrent et je tombais subitement car je n'avais plus aucune force tellement que mes muscles étaient anquilosés par cette mauvaise position. Ils m'allongèrent mais ils m'attachèrent dans la même position que quand j'étais debout. Je me suis aperçue que c'était une salle avec des crochetrousse092.jpgs et des cordes de partout. En plus je suis sûre que ce n'est pas pour m'empêcher de fuir mais pour que j'ai une position adéquate afin qu'ils me profitent de moi comme ils veulent.

Du coup on m'enleva la bouteille et un mec se coucha sur moi et entra dans moi. Un autre me tourna sur le côté avec l'aide de celui qui était en moi et me pénétra dans mon anus. J'avais deux sexes en moi. Et un troisième se mit à genoux et me mit mon sexe dans ma bouche. Il tenait une poignée de mes cheveux et m'obligea de bouger ma tête pour me le sucer. Il trouvait tellement bon, qu 'il jouit dans ma bouche. Un autre prit sa place. En fait dès qu'il y en avait un qui jouissait en moi, dans ma bouche, il y avait un autre qui prenait sa place. Et le plus pervers, pendant qu'un prenait sa place me renfonçait sa bouteille en moi. J'avais du sperme partout sur mon corps ainsi que mon sang. En plus comme j'étais par terre, j'étais toute poussiéreuse. Je me sentais sale dans tous les sens du termes.

Et puis tout d'un coup, tout s'arrêta. Les mecs partirent et me laissèrent en plan par terre dans cette mauvaise position. Il y en a un qui revient, je pensais que c'était pour me libérer, mais non, il me lança l'eau de la bassine d'eau froide sur mon corps puis me dit : «  regarde-toi salope, tu es sale. Une fille comme toi devrait rester chez maman. Mais non tu préfères faire la pute chez les militaires. Nous avons beaucoup de chance de t'avoir, on commençait à s'ennuyer et manquer de femme. Je me casse, le devoir m'appelle. Tu es vraiment trop bonne. » et il partit !

Je ne sais pas combien de temps je suis restée comme ça. J'ai cru qu'on m'avait oublié. Mais non, le vieux revint entrain de manger : « mais que fais-tu dans cette position ? Tu me veux de nouveau c'est ça ? Tu me montres ton petit minou mais, je ne peux pas résister moi. »

Il vient, posa son sandwich juste sur mon nez et me caressa. Ça recommençait ! Je n'en pouvais plus. J'avais mal au plus profond de moi à mon sexe. Il vint entre mes cuisses et se mit à me lêcher. Même si je détestais ce mec, j'avoue que ça me faisait du bien. Ça me rafraichissait, et me soulageait de mes blessures que j'ai eu à cause de cette maudite bière. Il resta longtemps à le lécher. Il tournoyait sa langue autour de mon petit bouton, qui me faisait gémir de plaisir. Ensuite il entra se langue en moi. Je la sentais bouger comme un petit vermisseau. Un vrai délice ! Il jouait à me donner du plaisir car il savait que ça n'allait pas durer longtemps. D'ailleurs il s'arrêta et s'enfonça en moi mais cette fois-ci très délicatement. Un vrai gentleman ! Ça me faisait bien rire ! Qu'est ce qu'il cherchait après m'avoir malmenée, violentée ? Il avait sa bouche contre mon oreille et je le sentais respirer. Il sortit mais j'ai su que ce n'était pas finit. Il me détacha entièrement. Il se remit entre mes cuisses et de nouveau s'enfonça en moi. Il voulait peut-être que je le prenne dans mes bras ? Que je le câline? Que je me cambre pour lui donner plus de plaisir ? Malgré moi, c'est ce que je fis. Je bougeais en même temps que lui. Dans l'assaut, il m'enleva le chiffon de la bouche et m'embrassa comme un amoureux. Malgré mon dégoût, je fis de même. Je pris aussi du plaisir dans ses bras et on jouit ensemble. Je n'en revenais pas, j'ai fait ce qu'il a voulu. J'étais soumise. J'étais à lui. C'était le diable en personne, et je lui appartenais ! C'est à peine croyable. Il me regarda dans les yeux (il était encore en moi) en souriant, triomphant en me disant que la journée était finie, que j'en avais assez subit aujourd'hui. Il m'entoura de ma chemise de nuit déchirée et m'amena dans ma chambre. Une fois seule j'accours dans ma douche m'enlever cette souillure. J'étais épuisée, affamée, et morte de honte. En plus mon sexe me faisait horriblement mal. J'avais beaucoup saignée. Et je me demande si ce n'était du verre cassé qu'ils ont mit en moi. 1225218492_sexy_couple.jpg

Éric ouvrit la porte sans frappé avec un plateau repas. Je lui ai demandé où il était mais celui-ci me répondit qu'on lui avait interdit de rester auprès de moi car ils se sont rendu compte qu'on était trop proche. Il avait posé le plateau repas sur une table pendant que j'étais encore à la douche. Avec un grand culot, il se déshabilla et me rejoint. Entreprenant, il était très doux avec moi. Il me caressait, m'embrassait, et m'aida à me laver. J'étais comme une petite fille dans ses bras. Une fois lavée, et sèche, il me transporta sur le lit et voulu me faire l'amour. Mais je n'ai pas pu accepter tellement que j'avais mal. Il examina mes blessures. Me dit que c'était vraiment superficiel. Sans m'écouter, en reniant mes non, il s'enfilant en moi. Un vrai délice ! Je ne sentais même plus la douleur. On fit l'amour un petit moment.

Ensuite je pus enfin manger. On me laissa l'après-midi de libre où j'ai pu me reposer et enfin dormir.

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Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 12:52

 

Jour 2

 

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Vers 7 heures de matin, quelqu'un frappa à la porte et s'ouvrit à la volée. Éric entra et, caressant doucement la joue d'Alex. Elle ouvrit les yeux et aperçut Éric. Elle se leva brusquement en remontant les draps sur elle. Elle était encore nue.

« - que me veux-tu ? Sors de ma chambre et vite.

  • calme toi princesse, il est l'heure de te lever. Ton entrainement n'est pas encore terminé.

  • D'accord mais va t-en de ma chambre. Je n'ai pas envie de te voir pour l'instant.

  • Hélas ma belle, nous passerons la journée ensemble. Quoi que je suis bien ravi. Je t'ai apporté les vêtements que tu dois porter aujourd'hui. Ensuite tu iras dans la casa que tu as en face et tu iras manger. Dépêches-toi tout de même, on n'a pas toute la journée. Je t'attends là-bas. »

     

et il disparut. Elle mit ses vêtements. Il y avait des sous-vêtements très affriolants. Puis un simple t-shirt blanc plus un pantalon treillis. Sans oublier les chaussures ! Tout était à sa taille. Elle ressemblait à un vrai militaire !

Comme prévue, elle sortit de sa chambre pour aller manger. Elle n'avait pas franchi la porte que quelqu'un la tira très violemment et la fit tomber au milieu de la pièce. Elle fut très surprise tout d'abord et elle se mit à crier : « mais ça va pas ? »

et paf, elle se reçoit une gifle assez violente qui l'a laissa K.O quelques minutes.

Quand elle leva les yeux, elle était face à un homme d'une cinquantaine d'années accompagné d'Éric. « Tais-toi, je ne veux surtout pas t'entendre. Tu n'as pas à lever la voix. La prochaine, c'est un coup de poings que tu recevras. C'est bien compris ? (elle baissa la tête et dis un oui timide. C'est alors qu'elle reçoit un coup de pied sur ces cuisses) Je n'ai pas entendu ce que tu as dit. Quand je te pose une question, je veux que tu me répondes, c'est moi qui commande. Alors est ce bien compris ?

  • oui !!!!! cria-t-elle

  • alors jeune fille, Alex, c'est ça Rémi ?

  • Oui c'est ça

  • bon alors Alex, dit moi ce qu'il y avait dans cette lettre

  • non

  • comment ça non ?

  • Non

  • Rémi m'a dit que tu étais bonne, chaude comme la braise. Si tu ne me dit pas le contenu de la lettre, je peux te dire que je vais mettre ma queue dans ta bouche, et je vais te retirer mes informations.

  • Non pas ça

  • mais si ma belle, tu vas aimer ça, je peux te le dire, je l'ai grosse, je te préviens, je t'étoufferai avec

  • noooon, je vous en supplie. (un autre coup de pied sur sa cuisse)

  • alors dis moi, c'est quoi la lettre ? Je t'écoute ma belle enfant.

  • Non

  • Non ? Tu es bien sûre ?

  • ….

  • ok, Éric,  vas me chercher une chaise.

  • D'accord, je reviens »

 

C'est alors qu'il partit les laissant seul tous les deux. « mais que vais-je faire de toi ? Tu devrais me le dire, sinon, finit la vie de princesse, tu ne sortiras jamais de ce camps. Tu seras notre prisonnière à la merci d'autres militaires. En bref, tu seras notre petite pute, et belle comme tu es, je suis sûre que mes hommes ne demanderont que ça. Un petit cul à baiser. On m'a dit aussi, que tu as un cul excellent, j'aimerai bien l'essayer. Alors dis-moi ce qu'il y avait dans l'enveloppe, et ton calvaire sera terminé. »

Elle le fixa dans les yeux, et celui-ci lui donna encore une gifle. Éric revient avec la fameuse chaise, avec un croissant et de l'eau.

« alors mademoiselle a faim ? Je vais te laisser manger tranquille. Tu dois me donner l'information que je te demande sinon c 'est ma bite que tu suceras. À tout à l'heure." Il partit. Éric lui servit le croissant et la fit boire. Elle accepta volontiers. Elle ne refusa pas à manger car elle savait qu'elle allait passer une horrible et rude journée .

Éric vient auprès d'elle la rassurer.

« - tu vas me détester, mais sache , et je profite d'être seuls tous les deux car je n'ai pas le droit de te le dire, quoi qu'il advienne, quoi que je te fasse, sache que c'est seulement le boulot. Il faut que tu sois conditionnée car la vie d'espionne est difficile. Je n'ai rien contre toi. Tu es admirable, et il faut que tu es du courage. Même si je ne te connais pas suffisamment, je me sens proche de toi, et je t'apprécie. Quoi que je te fasse, ce ne sera pas par gaité de cœur. Attention, mon collègue arrive. »

Et en effet, le voici.

« Assis toi sur la chaise tout de suite. Sache qu'à partir de maintenant tu es à moi, mon joujou sexuel. Mmm que je vais aimer ça ! Alors petite princesse, qu'elle est le message ? J'aimerai avoir une réponse.

  • rêve

  • pardon ? Peux-tu répéter ?

  • Rêve »

 

femme menottesIl a chope par les cheveux, et l'oblige à s'assoir. Ensuite, il lui file une bonne gifle mais moins forte cette fois-ci.

«  Ma belle, tu vas bouffer ma bite, et tu vas aimer ! Éric , tiens sa tête bien droite. » celui-ci se mit derrière et bloqua sa tête entre sa tête. Mais Alex se débattait malgré tout. Alors, Éric l'attacha sur la chaise, les mains derrière son dos. Pendant se temps son collègue, sortit son sexe de son pantalon. Il bandait. Son sexe était vraiment gros et impressionnant !

Il s'approcha d'elle son sexe dans la main et lui crie « suce » Celle-ci était vraiment dégoutée d'être obligée de mettre ce truc dans sa bouche. Elle voulait tourner la tête mais elle ne peut pas. Alors elle ferme sa bouche le plus fort possible. Mais ce type, se faisait plus menaçant et toucha sa boucha avec son sexe. Et il criait de le sucer. Alors Éric lui tire les cheveux violemment. Elle ne plus pousser un cri et le sale type, lui mit son sexe dans la bouche.

« - maintenant, suce moi, allez, vas -y montre moi ce que tu peux faire. Il remuait son sexe dans sa bouche. Mais elle ne faisait rien elle l'avait dans sa bouche et c'est tout. Elle pensait à ne surtout à ne pas vomir.

« - suce ma bite ! Passe ta langue dessus. Fais moi jouïr. »

Elle ne pouvait pas, c'était au-dessus de ses forces.

Alors il pris sa tête et enfonça son sexe plus profond dans sa bouche ! Alors elle se mis à passer sa langue sur son sexe autour et le suce comme il voulait. Elle se dit, au point où elle en est, autant lui faire plaisir. Par contre, ce type avait l'air surpris qu'elle se laisse faire. Elle faisait ça tellement bien, il l'avait l'impression qu'elle lui aspirait son sexe qu'il jouit dans sa bouche. Elle faillit s'étouffer de dégoût. Elle cracha tout bien qu'elle du en avaler un peu.bananes-mecanique-1973-01-g 


  • « apparemment, tu as aimé ça, salope ! Puisque tu aimes ça, tu vas sucer celle d'Éric ! Aller, viens, Éric, je sais que tu en as envie, elle est bonne. »

Celui-ci abaissa son pantalon et son slip, pour sortir son pénis qui bandait déjà. Le vieux, tient la tête d'Alex, et Éric, lui enfonça son sexe dans sa bouche. C'est vrai qu'elle était douée ! Elle lui suçait son sexe tendrement, il ressentait de l'électricité dans tout son corps. Le vieux était embêté car ce n'était plus de la torture. Alors il la tira par les cheveux, et commanda à Éric de se coucher à terre. Ce qu'il fit avec regret. Il jeta Alex avec violence sur Éric, et lui obligea de s'accroupir sur lui, le sexe d'Éric en elle. Et tout les deux se mettent à bouger à se donner du plaisir. Mais le vieux ne le voyait pas de cet œil là.

  • «  tu as l'air d'aimer ça princesse, mais ça ne va pas durer si tu me donnes pas ce message. »

Elle prenait tellement son pied, qu'elle n'arrivait pas à parler.

 

- écoute moi bien, princesse, toujours en lui tirant les cheveux, il la força à le regarder, si tu ne me dis pas ce qu'il y avait dans cette enveloppe, je te prends ton joli petit cul. J'ai une très grosse bite, et je te jure, que tu vas la sentir passer. Alors petite salope, dis moi où ce code.

 

  • Non, je ne vous donnerais rien. Mais pas ça, je vous en prie.

  • Mmmm je vois ce joli petit cul qui ne demande qu'à être enfoncé par une grosse bite. Tant pis pour toi. Je suis sûr que tu vas aimer. Aller, penche toi sur éric et surtout reste sur éric. Tu te rends compte la chance que tu as, deux bites rien que pour toi. Moi je vais me régaler, il y a longtemps que je n'ai pas gouter à un si joli cul. »

ENaruto_hentai_018.jpgn la tenant par le cou, il la coucha sur éric pour voir mieux son cul. Il fut satisfait par ce qu'il voyait. Un sexe prit dans un autre, et un trou qui ne demandait à avoir un autre sexe. Il se mit à genoux entre les jambes d'Éric, avec son autre main qui tenait son pénis, s'approcha dangereusement

du cul d'Alex. Et sans pitié, il s'enfonça d'un seul coup en elle qui celle -ci se mit à crier très fort, tellement ça lui faisait mal. Elle avait l'impression qu'on arrachait l'intérieur de son cul. Elle en avait les larmes au yeux. Et lui qui continuait en entrer et en sortir. Elle était sûre qu'elle saignait, que quelque chose s'était déchirée en elle. Elle gémissait vraiment de douleur. Et tous les deux bougeaient en elle. Tout en larmes, elle leur suppliait d'arrêter. Elle n'en pouvait plus. Ça faisait trop mal.

Le vieux : - Non mais tu rêves, je suis trop bien dans ton petit cul. Je n'ai plus envie de partir. Je savais bien que tu étais une petite salope. Je suis sure que tu aimes ça. Même si tu me donnais le message, je n'arrêterai pas. J'aime ton cul. Je prends mon pieds tu n'imagines même pas.

Et ça a duré un bon moment comme ça. Éric, qui avait pitié d'elle, de ses larmes, lui serrait sa main. À force son petit trou s'habituait, et elle souffrait moins. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle appréciait cette situation. Alors elle pensait à sa vocation de toute ses forces, et se demandait si tout ça en valait la peine. Mais maintenant c'était trop tard, on l'avait violée, enfin non, on était entrain de la violer, on lui faisait mal, on l'humiliait. Valait-il le déshonneur pour une vocation ?

Enfin, les choses se terminèrent. Le vieux, se retira, et elle en profita de se retirer d'Éric. Elle s'allongea par terre complètement épuisée. Tous les deux se rhabillèrent mais laissèrent Alex à moitié dénudée. De toute façon celle-ci s'en foutait. Alors le vieux lui dit :

  • elle est tenace, mais on arrivera à lui faire cracher le morceau. Si ce n'est pas moi, ça sera quelqu'un d'autre. Et oui ma chère, ton calvaire ne fait que commencer. Éric, va chercher de l'eau pour la demoiselle. Elle doit avoir soif. (c'est ce qu'il fit). Alors tu me le donnes ce messages ? Pour toi les choses s'arrêteront là.

  • Va te faire foutre.

  • Comment oses-tu me parler petite conne ? (il lui donne un violent coup de pied dans les fesses) tu me dois le respect. Peut-être que tu n'as pas aimer ma bite mais peut-être les coups de pieds au cul tu aimes. (et vas-y que je t'en donne d'autres) moi j'adore faire mal aux minettes comme toi. En plus tu n'as pas de chance, le bout de mes chaussures sont en fer.

Elle pleurait de douleur. Elle n'en pouvait vraiment plus. Mais les coups de pieds pleuvaient encore et encore.

Éric vint avec la bouteille d'eau. Il vit que la peau des fesses d'Alex était rouge vif. Le vieux lui suggéra de la faire boire. Éric lui mit contre ses lèvres la goulot de la bouteille sur ses lèvres. Elle put boire quelques gorgées qui lui firent du bien jusqu'à que le vieux prenne la bouteille des mains d'Éric et lui versa l'eau de la bouteille sur son visage en ricanant.

  • c'est comme ça qu'il faut lui donner à boire. Ça la rafraichit et en même temps ça la réveille. Nous ne sommes pas des enfants de coeur éric, tu es trop sentimental. écoute, je vais te laisser un petit moment pour réfléchir. Je vais revenir dans la journée pour voir si tu as changé d'avis. Tu dois avoir faim ma belle. Mais malheureusement pour toi tu ne mangeras que quand je le déciderai et pour l'instant, je n'ai pas envie que tu manges. »

Et il sortit en rigolant fier de lui d'avoir passé un si bon moment.

Éric et elle se trouvèrent seuls. Celui-ci la releva et la prit dans ses bras pour la consoler en lui répétant combien il était désolé mais qu'il n'avait pas le choix surtout que ce type était son supérieur. Il était obligé de faire ce qu'il lui demandait sinon c'était le trou sans boire ni manger pendant quelques jours. Celle-ci apprécia un peu de chaleur humaine. Mais pleura tant qu'elle pouvait tant elle se sentait mal. Et il est vrai que malgré sa souffrance, elle avait terriblement faim. Éric était vraiment un bon gars, car il lui donna une petite barre de chocolat qu'il avait caché sur lui. Elle la mangea très rapidement de peur que quelqu'un d'autre la surprenne entrain de manger.

L'après-midi arriva très vite et le vieux entra dans la pièce. Alex commençait à aller mieux et quand elle le vit, elle recula comme un petit chien apeuré au fond de la pièce en ce recroquevillant sur elle-même.

Celui-ci s'approcha d'elle et lui demande : « alors, tu as peur de moi ? C'est l'effet que je te fais ? Mmm j'aime ça. Tu as raison d'avoir peur de moi. Je n'ai aucune pitié pour toi petite. En plus tu es tellement belle, que j'ai encore envie de te baiser. Éric, casse-toi, je ne veux plus te voir dans le coin. Cette fille est à moi, c'est mon objet sexuel à moi et toi ma belle, je vais faire de toi ce que je veux. Tu m'appartiens totalement. Je t'ai dit de te casser Éric. Je ne lui ferais aucun mal, rassure toi ! Tu peux partir tranquille. » 

une fois parti, il fait un clin d'œil à Alex et lui dit : j'ai menti ! Et la gifle très fort. « tu n'as pas de chance ma belle car je peux te dire que je suis la pire espèce du camp. J'aime le sexe et j'aime violer les jolies filles comme toi. C 'est bête hein ? Bon sérieusement, donne moi le message ou le code. Non ? Tu ne veux toujours pas ? Pfff c'est vraiment décevant. Moi, je t'en remercie car qu'est ce que tu vas prendre ! Je vais aimé ça ! » il la soulève en la tenant debout et la bloquant contre le mur et l'embrasse sur la bouche en rentrant sa langue et se mélangeant à la sienne. Alex était dégoutée, il avait une très mauvaise haleine. Et lui continuait à lui fouiller sa bouche avec sa langue. En plus de ça il bavait beaucoup au point que ça dégoulinait tout le long de son menton. Il lâcha sa bouche et lécha ses joues, son cou... hard063.jpg

« mmm tu es vraiment délicieuse. J'ai oublié de te dire, qu'à midi, c'était un vrai délice ! Ils avaient mis des oignons ! Oui c'est pour ça que j'ai si bonne haleine ! On aurait dit que c'était fait exprès ! Tu vas te régaler ! (la porte s'ouvrit et deux militaires apportèrent une sac et sortirent aussitôt. Enfin voici le matériel que je t'ai particulièrement concocté. Tu vas être ravie ! » Il la lâcha et elle s'affala sur le sol. Elle se demandait ce qu'il lui attendait. Elle fut vite servie ! Il avait des sortes de lanières dans ses mains. Face à elle, il lui commanda de se lever et de se déshabiller. Comme avait des gestes maladroits et qu'elle était plutôt lente, il lui déchira son t-shirt et son pantalon avec une extrême violence. Il était satisfait de ce qu'il voyait. Elle portait des sous-vêtements affriolants vraiment très sexy. « ne me dis pas qu'avec ça tu ne vas pas exciter un mec. Moi en tout cas, tu me fais de l'effet. Je ne vais pas tenir. Faut vraiment que je te prenne. Tu me fais bander. Mais avant tout je dois te préparer » il sortit un très gros couteau et le faisait glisser lentement sur le corps d'Alex. La lame était vraiment grande, il pourrait la tuer s'il voulait. Sa peur l'excitait encore plus. Mais il ne lui fit rien , il l'avait juste sortit pour arracher le soutien gorge. Alex, se retrouva qu'en petite culotte noire dentelle. Celui-ci très entrepreneur lui lécha ses seins et même lui mordit ses tétons. Elle cria de douleur. Il lui posa ses lanières autour de sa poitrine. Ensuite il déchira sa culotte. Il mit deux doigts dans son sexe il lui chuchota dans son oreille : « je te jure que je vais te prendre dans pas longtemps. En plus tu mouilles. Lèche mes doigts. Regarde comme tu mouilles. » il lui mit ses doigts dans sa bouche qui lui laissa quelques secondes. Ensuite, il lui posa d'autre lanières autour de sa taille avec une qui passe entre ses cuisses. Il approcha la chaise, il monta dessus, lui pris ses mains les leva au-dessus de sa tête les attacha l'une contre l'autre et les attacha à un crochet qui était sur le mur.

Ensuite il lui enfila un collier de cuir autour de son cou. soum014.jpg

« mmm comme tu es belle ma petite chienne. » il fouilla dans son sac et revient vers elle avec un gob dont sa taille était impressionnante. Sans la prévenir, il entra ce god en elle et le bloqua avec la lanière qui passait entre ses jambes. « mmm je suis sur que tu aimes ça, ce joujou dans ton con. Ne pleure pas ma belle. Ce n'est pas pour te faire du mal, tu vas aimer ça. Il la tourna contre le mur et de nouveau entra dans son cul en lui donnant pas mal d'accoues. Ça lui déchirait les entrailles et plus il bougeait, plus elle sentait aussi le jouet qui était en elle. Elle n'en pouvait plus. Elle criait de toutes ses forces. Alors pour la faire taire, il lui plaça dans sa bouche une grosse boule en plastique qui tenait avec des lanières autour de sa tête. « maintenant tu te tais, tu me casses les oreilles. » elle entra de nouveau dans son cul. Une fois avoir jouit en elle, il se rattache son pantalon. Il prends les pieds d'Alex, les releva et les posa sur son cou. Il lâcha son sexe, entra sa langue à l'intérieur. Il aspirait son liquide, ça faisait un bruit de succion désagréable. Ensuite il passa sa langue dans son petit trou et le suçait avec conviction. Ensuite il retira son god mais pas tout de suite car il l'entrait et le sortait. Quand il l'entrait , il le mettait en entier. Ça lui faisait mal mais tant pis. C'était un véritable pervers. Quand il eut finit de jouer avec elle, il lui dit : « petite chienne, c'est un véritable régal de jouer avec toi. Mais il faut que tu me donnes ton message » celle-ci lui fit signe de la tête de façon négative.

Il sortit de la pièce en lui disant qu'il revient. Pour la première fois elle se retrouvait seule mais dans une mauvaise posture. En plus elle commençait à avoir froid et avoir mal partout. En particulier ses bras et ses épaules. Quand il revient, il était avec un chien. Un berger allemand. Celui-ci riait et lui dit : « j'ai trouvé un joli chien pour ma petite chienne. Il a déjà enculé des femelles comme toi. Je te jure que c'est vrai. Et je suis sur qu'il va avoir envie de toi. Tu ferais craquer n'importe quel male même lui. » celle-ci essaya de se débattre. S'en en était trop. Jamais elle ne pourrait supporter ce genre d'humiliation «  alors, ça te dirait ? Non ? Alors dis moi le code. Non ? Toujours pas ? Tu serais prête à te faire enculer par un chien ? Bon, je vois que tu es courageuse, je ne vais pas te faire ça, j'ai tout de même des principes ! Mais avoue que tu as eu peur tout de même ! Je crois que pour aujourd'hui tu as assez souffert. Je vais te détacher. Par contre, tu devras te débrouiller à rejoindre ta chambre toute nue, je dois récupérer ce que tu as sur le dos. Comme ça, mes gars verront combien tu es excitante, et ils leur tarderont de te baiser dans notre prochaine séance. Bye , à demain ! »

Il la détacha et l'aida à enlever toutes ses lanières en lui caressant son corps de temps en temps. Puis reparti en lui faisant un bisou dans l'air et en rigolant de plus belle !

Elle réussit à se mettre sur ses pieds comme elle pu et avec crainte et courage sortit de la pièce pour rejoindre sa chambre.

Quand elle fut dehors, elle eu le plaisir de sentir la chaleur du soleil se répandre sur sa peau. Après ce qu'elle venait de subir elle trouva ça plaisant. Mais elle se trouva vite entourée d'hommes qui plaisantaient et qui l'a touchaient voire la bousculer. Elle prit vraiment peur et leur disait de la lâcher. Mais c'était plus fort qu'eux. On lui touchait ses seins , ses fesses. Un mec prit les devants, la bloqua contre le mur de la maison d'où elle venait et lui mettait les mains sur son sexe. Elle voulait partir, qu'on lui laisse tranquille, mais beaucoup de mains la tripotaient. C'est alors qu'une grosse voix gueula de stopper ça tout de suite. Les militaires arrêtèrent aussitôt et reculèrent pour laisser passer Éric. Celui-ci la porta dans ses bras et l'amena dans sa chambre tout en la déposant délicatement sur son lit. Il lui fit une caresse tendre sur la joue, disparut de sa chambre. Celle-ci ne pleura pas, elle avait laisser assez de larmes dans la journée, et décida avec le peu de force qu'il lui restait de prendre une douche.

Quand elle revint toute requinquée, elle trouva un plateau de nourriture encore chaude qu'elle mangea rapidement tellement qu'elle était affamée. Puis elle se coucha. Elle fit pas mal de cauchemar. Dans la nuit entra Éric, qui s'allongea auprès d'elle. Il la prend dans ses bras et s'endormirent comme ça jusqu'au lendemain.

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Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 10:33

 

303906_435950849828882_1938672514_n.jpgElle voulait à tout prix devenir espionne, servir son pays. Elle était faite pour ça, c'était sa conviction.

Elle avait rendez-vous au bureau de l'armée pour s'inscrire. Elle devait tout d'abord avoir un bon entrainement d'ordre militaire. Elle savait que ça allait être très difficile mais elle ne savait pas trop ce qu'il attendait. Lors de l'inscription, elle tomba sur une femme qui avait l'air très stricte. Elle lui posa des questions bizarres :

 

« - Mademoiselle, je voudrais connaître ce que sont vos projets exactement.

  • j'aimerai être espionne, servir mon pays.

  • Savez-vous que pour devenir espionne vous aurez un traitement intensif pour voir si vous êtes forte de caractère. Vous êtes jeune, mademoiselle, je doute que vous ayez le cran de tenir jusqu'à la fin. Surtout la première partie.

  • Comment ça la première partie ?

  • Oui en fait il y aura deux parties : la première testera vos ambitions, et la solidité de caractère et la deuxième ce sera plutôt un entrainement physique.

  • D'accord, on commence quand ?

  • Dès demain si vous le voulez bien. Vous avez une journée pour revenir en arrière car la première partie sera vraiment difficile et je vous conseille d'arrêter là.

  • Ah non, je suis décidée, je vais sûrement le regretter au moins de n'avoir pas essayé. Mais avec vos paroles vous me faites assez peur.

  • Vous pouvez avoir peur mademoiselle, c'est justifié. Par contre, je vous donne cet imprimé qui dit que l'on décline toute responsabilité de ce qui pourrait arriver.

  • Mais qu'est qu'il pourrait m'arriver ?

  • Je ne peux pas vous le dire, je n'en ai pas le droit vous verrez au moment.

  • Bon je signe et on verra bien.

  • Vous ne voulez pas réfléchir avant ?

  • Non.

  • Bon d'accord prévoyez une valise, dites adieu à vos proche pour une semaine environ. Oui la première partie durera une semaine. Vous ne verrez personne pendant ce laps de temps et vous n'aurez aucun moyen de communication.

  • Bon ben à demain alors.

  • Oui à demain mademoiselle. »

 

Donc elle revint chez elle toute pensive. Mais que voulait dire par là la secrétaire ? Ça faisait peur et en même temps elle était curieuse. Elle appelait une amie pour en parlait et celle-ci lui conseilla de revenir en arrière. Mais elle ne voulait pas l'écouter. Il faut dire qu'elle était vraiment déterminée. Son principal but à part de servir son pays est de voyager et rencontrer tout un tas de monde. En plus elle connaissait plusieurs langues qui sera favorable qui ce métier. Elle avait des étoiles pleins les yeux. Elle rêvait de beaux gentlemans avec qui elle tomberait amoureuse. Elle ne voyait que du rêve mais ne pensait pas aux inconvénients du métier.

Après une nuit difficile (stressée par les dires de la secrétaire, elle avait eu du mal à s'endormir) , elle alla à son rendez-vous.

 

 

 

 

 

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Jour 1

 

Elle retrouva la secrétaire de la veille. Celle-ci lui avoua qu'elle ne pensait pas la retrouver et paraissait satisfaite car elle pouvait voir sa grande motivation.

Elle lui indiqua un autre bureau où elle pourra voir une autre personne qui lui donnera toute les directions à suivre.

Donc sans grande difficulté, elle se rendit dans ce lieu où elle fit connaissance d'un homme qui lui plu aussitôt. Faut dire qu'il était beau ! Brun, bien musclé (il portait un t-shirt) yeux bleus. Tout ce qu'il lui plaisait chez un homme. D'ailleurs quand elle entra dans ce bureau celui-ci se leva pour lui souhaiter la bienvenue :

«  - Bonjour Mademoiselle ?

  • oui mademoiselle Fenny Alexandra.

  • En effet, je vous attendais Mademoiselle. Avant de commencer, j'ai quelques questions à vous poser qui pourrait être très pertinentes pour vous voire indiscrètes mais qui sont importantes pour nous.

  • Le première question : êtes-vous vierge ?

  • Pardon ? Est-ce sérieux ? C'est une plaisanterie !

  • Écoutez mademoiselle, désolée si ma question vous dérange mais si vous ne pouvez pas répondre, vous pouvez partir.

  • D'accord, oui je suis vierge. Je suis jeune je n'ai que 19 ans et je n'ai pas trouvé le grand amour.

  • Mince, je suis désolé pour vous ….

  • Ce n'est pas grave ça arrive !

  • Désolée que vous soyez vierge …

  • Pardon ?

  • Et avez-vous de la famille ? Des parents, un petit copain en vu ?

  • J'ai des parents, en effet, mais je vis dans un appartement toute seule. Pour le copain, non j'ai personne en vu.

  • Êtes vous gay ?

  • Non

  • Bon vous avez répondu à mes questions. Maintenant, nous allons commencer notre entrainement si vous voulez bien.

  • Oui avec grand plaisir et j'espère être à la hauteur.

  • Moi aussi ! Alors voilà, je vais vous donner une enveloppe kraft avec une inscription à l'intérieur. Ce qui est écrit personne doit savoir. Personne, même pas moi. Ne soyez pas surprise mademoiselle, ce n'est pas parce que je vous donne cette enveloppe que je sais ce qu'il y a dedans. Je ne fais qu'obéir aux ordres de mes supérieurs. Donc, personne ne doit savoir, même pas votre famille, ni votre chien. Jamais de la vie. Quand vous serez vieille, ce secret sera encore en vous. Quand vous serez espionne, vous en aurez des secrets à ne pas révéler sauf aux personnes qu'on vous aura indiquées. Le but de l'espion est de ne jamais se faire attraper. Sinon, vous aurez à subir le plus terrible des interrogatoires jusqu'à ce que vous crachiez le morceau. Dans votre tête, vous devez tenir même si la mort approche. Donc, votre première épreuve sera de voir si vous êtes capable de tenir votre langue quoi qu'il arrive. Ce secret sera peut-être ridicule ou sérieux mais quoi qu'il en soit gardez-le pour vous. On essayera la ruse, la gentillesse, la torture ….

  • La torture ? J'espère qu'elle ne sera pas trop dure la torture !

  • Mademoiselle, sur le terrain, on ne vous fera pas de cadeau, et ici non plus. Soyez en sûre. Je préfère vous prévenir ! Vous pouvez encore changer d'avis.

  • Non, il en est hors de question. Je vais essayer de tenir.

  • Bon c 'est bien. Je vais vous montrer votre chambre à présent. Par contre, ce n'est pas dans mes habitudes mais je voudrais savoir si vous seriez d'accord de venir manger avec moi ce soir. Vous ne m'êtes pas indifférente. Par contre, les téléphones portables, ou les ordinateurs, sont interdit. Si vous en avez sur vous, c'est le moment de me les donner.

  • Non, je n'en ai pas, car la secrétaire m'avait prévenu. Pour le rendez-vous de ce soir, j'accepte avec joie. Je vous laisse le choix du lieu.

  • D'accord, soyez prête ce soir vers 19h. Maintenant,allons voir votre chambre. »

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Il se leva, ils sortirent du bureau et le militaire amena Alexandra dans sa chambre. Celui-ci la laissa et partit de son côté. La chambre plaisait à Alexandra. Elle était spacieuse, avait une décoration assez simple avec des murs blancs et le lit était de deux places. D'ailleurs, elle trouvait bizarre, d'avoir un si grand lit pour elle seule. Ensuite, il y avait aussi une douche juste à côté ainsi que des toilettes. La pièce était bien éclairée par le soleil. La porte se situait juste à l'extérieur d'une cours. Elle s'assit sur le lit et commença à ouvrir la lettre kraft que lui avait donné le militaire. D'ailleurs elle se mit à penser à lui, combien il lui plaisait et surprise d'avoir accepté un rendez-vous avec lui aussi rapide alors qu'elle ne le connaissait pas. Mais il lui inspirait confiance. Ce n'était vraiment pas son habitude. Mais il lui tardait d'être le soir. Par contre elle commençait à s'inquiéter de ce qui pourrait lui arriver. Elle se demande si elle pourra tenir car elle n'a jamais supporter la douleur telle qu'elle soit. Alors lui vient une idée : si elle n'ouvre pas cette enveloppe, elle ne saura jamais ce qu'il y a à l'intérieur et ne pourra jamais divulguer ce secret. Donc il fallait qu'elle cache cette enveloppe. Mais où ? Elle aperçu un radiateur électrique sur le mur et décida de cacher l'enveloppe derrière. Tout d'abord elle l'a plia en quatre et se elle la glissa derrière le radiateur. Puis elle y vit un trou et enfonça l'enveloppe à l'intérieur. Mais elle trouvait que ce n'était pas suffisant car tout le monde pourrait la voir ne serait-ce qu'en la cherchant. Alors elle eu une idée : elle prit un paquet de chewing-gum dans sa valise et en mâcha trois. Elle les retira de la bouche et les colla sur le mur afin de cacher l'enveloppe. C'était impeccable ! Personne ne cherchera à cet endroit ! Elle était plutôt fière d'elle !

 

  Vingt heures arrivèrent. Elle se mit en jean avec un chemisier blanc. Il faut dire qu'elle n'avait pas pris de vêtements élégants. Elle n'avait pas prévu avoir un rendez-vous galant.

Quelqu'un frappa à la porte. C'était le militaire. Enfin, il était arrivé, elle l'attendait avec impatiente. Elle ouvrit la porte :

« - bonsoir, je vous attendais ,

  • Bonsoir mademoiselle

  • Vous pouvez m'appeler par mon prénom Alexandra, d'ailleurs on m'appelle Alex

  • D'accord, je m'appelle, Éric.

  • Enchantée Éric. Où allons-nous manger ?

  • Ici

  • Ici ?

  • Oui, nous n'avons pas trop le droit de sortir de la base. Je sais que ce n'est pas trop glamour, mais j'ai apporté deux sandwichs, des frites, et deux morceaux de tartes aux pommes.

  • Mais ça me va tout à fait ! Rentrez Éric, vous êtes le bienvenu.

  • Je vous remercie. Est- ce que je peux te tutoyer Alex ? Ce serait plus simple entre nous deux.

  • Oui bien sûr ! Alors rentre.

  • Je te remercie »

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Celui-ci entra dans la pièce, ils s'installèrent sur la moquette et mangèrent. Ils parlèrent de tout et de rien. De temps en temps, il lui caressait la joue , lui touchait sa main. Il cherchait tout contact physique qu'il pourrait avoir avec elle.

Une fois finit, il lui annonça :

« - tu me plais beaucoup Alex, tu es belle. Dis moi, on a passé une bonne soirée, nous nous sommes un peu rapprochés et je voudrais savoir si tu permets, ce qu'il y a dans cette enveloppe , je suis de nature curieuse.

  • je ne peux pas te le dire, comme tu m'as dit tout à l'heure, je n'ai pas le droit de te le dire aussi charmant et adorable que tu es.

  • Mais j'étais obligé de te dire ça, c'était dans mes fonctions, mais tu peux me le dire, maintenant, tu ne risques absolument rien, je ne dirais rien à personne, c'est promis !

  • Non non. Tu es trop fort, mais je ne vais pas tomber dans le panneau !

  • Bien, je t'en félicite. Mais tu me plais beaucoup tu sais ? »

Il s'approchait d'elle et l'embrassa délicatement, plus plus goulument. Elle s'abandonna à lui à ses baisers.

Il poussa les papiers du repas, allongea Alexandra se mit sur elle tout en continuant à l'embrasser. Il commença, à lui déboutonner le chemisier qui s'aperçut qu'elle ne portait rien en dessous. Une fois que la chemise fut ouverte, il embrassa ses seins, la caressa. Alex, gémit de plaisir. Jamais elle ne connu ce genre de sensation.

Il lui baissa son jean et celle-ci l'enleva carrément et se retrouva en culotte.

Comme c'était sa première fois, Eric se fit doux avec elle. Il se déshabilla lui aussi et désormais ils se retrouvèrent en slip. Il avait envie d'elle et ne s'en cacha pas.

« - tu es belle, je te veux, j'ai envie d'entrer en toi. Je sais que c'est une première pour toi, est-ce que je peux ?

  • oui tu peux , toi aussi, tu me plais , je te veux, vient. » 1225218474_sexy_couple.jpg

Alors il lui enleva sa culotte, il baissa son slip et d'un coup, entra en elle.

Celle-ci poussa un petit cri. Il la regarda et elle hocha la tête pour lui dire que tout va bien. Alors tout content de lui, l'embrassa et lui donna des accoues. Un frisson lui parcouru tout son corps. Elle se laissa importer dans son plaisir. Soudain il sort d'elle et lui demande :

« - Alors, tu me le donnes ce code ?

  • quoi ? Tu as fait fait tout ça pour le boulot ? Pour avoir ce fichu code ?

  • Ben oui , qu'est ce que tu croyais ?

  • Ah non, mais tu es dégueulasse, c'est inhumain !

  • Ne me dis pas que tu n'as pas aimé, tu es une fille facile, tu as accepté de coucher avec moi dès notre premier rendez-vous et tu dis que tu es vierge ? Comment as-tu fait pour le rester jusqu'à présent ? Alors , je veux connaître le code.

  • Rêve.

  • Je te jure que tu vas me le donner. »

 

Il la tourna et la fessa de toutes ses forces. D'ailleurs sa peau devient rouge. Il s'enfonça encore en elle et façon violente.

« - tu aimes ça salope ? Moi oui en tout cas, j'aime baiser avec des filles aussi chaudes que toi.

  • tu peux me faire ce que tu veux, tu ne sauras rien. Pauvre con va.

  • Ah oui ? Grâce à moi, tu as connu l'extase, je t'ai dépucelée, mais maintenant je vais te dépuceler ton cul. Tu vas aimer ça.

  • Non s'il te plait, ne fait pas ça, je m'excuse.

  • M'en fous de tes excuses. »

Il sortit d'elle, qui d'ailleurs le supplia de ne pas le faire. Mais celui-ci ne voulait rien entendre, il voulait ce code, et il fallait coûte que coûte la faire craquer.

Donc il mis son sexe sur l'anus et poussa pour y entrer. Pas facile car celle-ci se débattait comme elle pouvait, elle le suppliait, elle pleurait. Alors il pris sa ceinture , et la fouetta en lui disant de se taire et qu'il la fouetterait jusqu'à ce qu'elle se tienne tranquille. Il lui avoua qu'il fallait qu'il le fasse, elle devait passer par là. C'était inévitable. À moins qu'elle lui donne le code.

Elle se calma, car la ceinture lui faisait vraiment mal, surtout qu'il faisait avec le ceinturon.


Alors il recommença, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de se remuer son derrière pour éviter ça. Alors il l'a déposa sur le lit à plat ventre et l'attacha. En fait, il y avait des crochets de chaque côté. Il y avait des cordes planquées sous le lit. Il l'attacha les bras et les jambes écartés. Et pour ne pas qu'elle crie, il lui mis un foulard sur sa bouche. Maintenant elle était à sa merci. Il entra tout d'abord dans son sexe en lui donnant des accoues violents pour le refaire bander comme précédemment. Il se retira d'ellejoli_08.jpg, et de nouveau essaya d'entrer dans son cul. L'entrée se fit difficile car elle a un petit trou. Mais il s'agrandit au fur et à mesure qu'il entrait en elle. Une fois qu'il que le bout de son sexe était en elle, il entra d'un coup sans diplomatie. Celle-ci se mit à crier et à pleurer tellement que ça lui faisait mal. Elle n'en pouvait plus. Ça lui brûlait. Et Éric qui y continuait à prendre son pied en bougeant en elle. Heureusement que la douleur s'atténuait, qui se transforma en plaisir. Mais elle ne voulait pas lui montrer qu'elle commençait elle aussi à prendre son pied.

« - tu as un joli cul tu sais, on est bien dedans, c 'est le top. Je vais rester encore un peu. Je prends mon pied. Tu sais que j'en ai enculé des filles, mais comme toi, jamais. Tu es belle, à faire tomber le diable en personne, et grâce à ton petit cul, on prend son pied comme jamais. »

Et il resta en elle encore un moment. Quand il se calma, il avait joui en elle, et le sperme coulait de son cul. Pendant ce temps il la lécha. Son cul, son sexe, il mettait sa langue dans son sexe. Il rebanda, et recommença de plus belle. D'abord dans son sexe, puis dans son cul. Elle était trempe de sueur, de larmes. Mais malgré la douleur qui revenait dans son derrière elle repris son pied et se mit à frémir malgré le foulard. Il s'en rendu compte et le lui enleva de sa bouche.

« - je vois que tu aimes ça hein ? Petite pute. T'en veux encore ?

  • non arrête, j'en peux plus

  • Dis moi ton secret.

  • Non, jamais de la vie

  • alors je vais te faire plus mal encore. »

Il se retira et rentra de nouveau dans elle avec une force inouï. Il ne regardait plus s'il entrait dans son sexe ou dans son cul. C'était l'un ou l'autre. Elle se mit à crier, à pleurer, à supplier. Et il continuait. Il se calma quand il eu jouit en elle. Il faut dire qu'il commençait sérieusement à fatiguer.

Il la détacha et s'allongea sur le lit à côté d'elle. Celle-ci n'osait plus bouger. Elle avait mal partout. En elle, dans ses muscles, et puis elle avait honte. Elle s'est donnée à un homme qu'elle ne connaissait pas alors qu'elle se préservait pour le grand amour et voilà ce qu'il lui arrive. Rien qu'à cette pensée elle se remit à pleurer. Comment pourra-t-elle se regarder dans une glace ?

Elle se leva pour aller se laver, pour enlever la souillure qu'elle portait en elle. Elle voulait tout faire disparaître.

« - mais où comptes-tu aller comme ça, jeune fille ?

  • je voudrais aller me laver, prendre une douche.

  • Avant que tu y ailles, je veux discuter avec toi. Ça fait parti de ta théorie. Tout d'abord, je voudrais te remercier pour le pied que j'ai pris, mais m'excuser aussi en même temps. Tu as dit que tu étais vierge, et je devais te dépuceler car si dans ton boulot d'espionne, tu étais kidnappée, on t'aurais violé, vierge ou pas. Je ne t'ai pas violée tu étais consentante. Du moins au tout début. Il fallait que tu passes par là. C'était violent mais c'est comme ça. En tout cas, tu n'as pas dévoilé le secret. Je te félicite. En plus, tu es belle, et j'ai peur pour toi. Il faut que tu saches que dans ton boulot tu devras coucher, c'est inévitable. Et si tu es prise, tu n'imagines même pas ce que tu vas subir. Aujourd'hui ce n'est rien. Je vais devoir te laisser. On va te laisser cette nuit pour réfléchir encore. Tu peux encore arrêter là. Par contre, tu ne peux pas porter plainte contre moi ou contre nousgrâce aupapier que tu as signé et tes épreuves sont loin d'être terminées (n'oublie pas tu as encore six jours). Par contre suite à ça, je veux bien prendre un autre rendez-vous mais plus glamour cette fois-ci. On aura encore l'occasion de se voir et tu vas me détester mais tu comprendras que c'est pour le boulot. Alors je te dis à demain !

  • Va t-en salopard, je te déteste. »

Il s'habilla en vitesse, et partit satisfait de lui. Elle alla se doucher en pleurant de toutes ses larmes. Elle commença à douter d'elle. « Qu'est ce qu'il m'attend ? Mais après tout je suis toujours en vie. Je n'ai pas pensé aux aléas de ce boulot. Mais où est ce que je mets les pieds ? Mais si je suis bien entrainée peut-être que je ne me ferais capturée, et les choses ne passeront bien. Je vais essayer une journée de plus et on verra. »

Suite à ses réflexions, elle se coucha et s'endormit aussitôt.

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Par texterotiqueisabelle - Publié dans : espionne
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