Partager l'article ! espionne partie 6: Jour 6 Quand je me réveillais, le jour était déjà ...
Jour 6
Quand je me réveillais, le jour était déjà levé depuis un moment déjà. Bizarre que personne ne m'ait réveillée avant. Tant mieux ! Ça m'a permis de me reposer un peu. J'en avais tant besoin !
Quelqu'un frappa à la porte. C'était eric qui m'apporta un plateau de croissants chauds avec du café. J'étais agréablement surprise ! Je ne m'y attendais pas !
« - Bonjour, ma belle, comment vas-tu ? Il fait beau dehors ! » Quelle surprise de son engouement ! Il posa le
plateau sur mes genoux et je pu déjeuner. J'avais tellement faim ! Puis j'ai vu sur mon plateau des boules de geisha. Je ne savais pas trop ce que c'était. Éric me dit que je devrais mettre ça en
moi et que quelqu'un avec une télécommande, les fera vibrer au point de me faire jouir. Ça ma coupé net l'appétit. C'est quoi encore cette histoire ? Alors il dégagea mon plateau en le mettant
sur le côté, m'embrassa, se mit sur moi. Il caressait mon corps. Ses mains passèrent sur mes seins, mon dos, mes reins, ma nuques, mes cuisses. Je ne pu m'empêcher d'écarter mes cuisses pour
l'avoir en moi. Mais, au lieu de me pénétrer, il fourra en moi ces boules de geisha. Il mit son index sur mes lèvres car j'allais protester. C'était lui que je voulais, pas ces trucs. J'avais
l'impression d'être punie. Il me dit que c'est mieux comme ça, il n'avait pas eu à me les entrer par la force. Il avait compris que j'étais réticente.
Il se leva du lit, me demanda de me lever,et de m'habiller pour qu'on puisse visiter la base militaire ensemble. Après tout pourquoi pas ? Ça me changera un peu.
Je couru à la salle de bain enthousiasmée, quand je sentis un picotement en moi. C'était vraiment une impression bizarre. Sur le coup il a fallu que je m'affale au sol. Tout mon corps était en alerte. Ce que je ressentis étais délicieux. Je ne pu m'empêcher de gémir. Mon corps se cambrait de plaisir. je ne pu m'empêcher de caresser mon clitoris. Ma culote commençaot à se tremper.
Éric vient me rejoindre. Je lui tendis ma main pour la serrer très fort, tellement que c'était intense. Il se mit à genoux devant moi en profita pour m'embrassait de nouveau. D'un coup tout s'arrêta. J'étais en sueur. Bien que j'aimais ça, je ne voulais pas que ça recommence. Éric m'assura que je m'y habituerais, que je n'y ferais même plus attention. Je le cru qu'à moitié. Donc je me préparai et sortis à l'extérieur de ma chambre. C'est vrai qu'il faisait beau. J'étais éblouie par le soleil. J'étais tellement habituée à rester dans les salles sombres, que j'avais l'impression de sortir après une longue maladie. L'envie de vivre revint en moi. J'en avais bien besoin.
Éric me montra le camp d'entrainement. Il y avait pas mal de militaires qui faisaient leur exercice. Éric m'expliqua que mon
entrainement physique se fera à cet endroit. Et d'un coup, de l'électricité en moi réapparu. En plaisir immense refait surface. Je m'écroule de nouveau; mon corps est parcouru de spasmes. Mon
corps se cambra, et je poussais des cris de jouissances. Je n'étais pas maitre de mon corps. Les militaires tournèrent la tête vers moi par curiosité puis d'envie. J'attendis même un dire : «
regardez, une chienne en chaleur ! » ou encore « une chatte en chaleur qui ne demande un gros sexe comme le mien » ou alors : « regarde cette pute, je vais me la
faire »....
Ils m'entourèrent. Je cherchais éric du regard, et je vis qu'il ne bougeait pas. Il ne s'interposait pas. Mais pourquoi ? Et
moi qui n'en pouvait plus. Un homme s'approcha de moi et mit sa main sur mon entrejambe à travers le pantalon. D'autres sortaient leurs bites et se branlaient. Un me mit son sexe dans ma bouche.
Je le suçais, je n'avais pas le choix. J'attendis un coup de sifflet je ne sais d'où, et les militaires revinrent à leur tache. Celui qui je suçais me dit d'un air menaçant qu'il n'en a pas finit
avec moi. Et partit. Même les boules de geisha arrêtèrent de fonctionner. Je pu me lever honteuse. Éric était tout prêt de moi l'air penaud. J'eus compris qu'il n'avait pas le choix. Je vins vers
lui, le pris par la main et lui souris pour lui montrer que je ne lui en voulais pas. J'ai vu dans ses yeux de la détresse, de la haine mais aussi de l'amour pour moi. Alors nous continuèrent la
visite. Rien ne se produisit durant un bon moment. Ce qui me rassura. Peut-être m'avait-t-on oublié ? Mon ami me montra une aire verte d'herbe où l'on pu s'installer tranquille. On pu discuter de
tout et de rien. De temps à autre il me caressait mes joues, m'effleurer mes lèvres. On était comme des amoureux. Mais mes picotements reviennent à nouveau. Je serrais la main très fort d'éric.
J'avais encore du mal à me contenir.
Et je me cambrais de nouveau en
jouissant. Il me disait d'essayer de me calmer, mais je ne pouvais pas. En plus ça me faisait mal. Je lui suppliais de me les enlever, que je ne pouvais plus les supporter. Alors il m'enleva mon
pantalon, ma culotte, entra ses doigts en moi, et me les enleva. Quel soulagement ! Mais éric ne pu résister à la vue de mon sexe. Il défit son pantalon et entra en moi. Il cherchait mes lèvres,
mes quatre lèvres, ma poitrine, mes cuisses. C'était un vrai délice. Quand il eut fini, il se sépara de moi, et examina les geishas qui continuaient à vibrer. Il s'avère que les vibrations
étaient assez violentes et c'est pourquoi je ne pouvais pas les maitriser. Il était vraiment en colère. Il me demanda de revenir dans ma chambre pendant qu'il aurait une discussion avec son chef.
Je lui obéis. Je retraversais le camp d'entrainement en baissant la tête et me dépêcha d'entrer. Mais au moment d'ouvrir la porte, un homme m'empoigna par les cheveux et me dit d'un air menaçant,
qu'il n'avait pas finit avec moi comme promis. Je sus que c'était le militaire de tout à l'heure à qui j'ai fait une fellation. Il me mit une main sur ma bouche et me poussa violemment dans ma
chambre. Je lui supplia de partir. Il s'approcha de moi en ricanant. Il avait son sexe bandant dans ses mains. Ça me donnait l'impression qu'il tenait un couteau. Il me bloqua contre le mur. Je
sentais son haleine et sa respiration rapide. Avec peine, il me déchira mon pantalon me retourna face au mur et entra en moi. Il s'acharnait en moi comme une bête. Mais la porte de ma chambre
s'ouvrit d'un coup et mon violeur reçut un grand coup de poing d'éric. Je crus qu'il allait le massacrer. Il le jeta en dehors de ma chambre en lui promettant qu'il ferait un rapport sur ce qu'il
venait de faire.
Il me prit dans ses bras, me souleva de terre, m'amena à la douche. On se doucha ensemble. Ensuite nous allèrent sur mon lit, et nous fûmes l'amour tout le reste de la journée.
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