Jeudi 21 mars 4 21 /03 /Mars 06:05

couple.jpg Je viens de perdre mon mari. Il est parti à cause d'une pneumonie que les médecins n'ont pas pu guérir même en le saignant.
Je me retrouvais seule avec un petit garçon de 3 ans. Je n'étais pas très affectée car mes parents m'avaient obligée à l'épouser. Malgré tout je m'habillais en deuil pour faire croire à un gros chagrin et surtout pour faire croire à ma famille que je n'étais pas prête pour me remarier. Mais ça n'a pas duré longtemps. À notre époque on ne laisse pas une femme toute seule. Pourtant, je me débrouillais très bien avec mon jardin et mes animaux.
Au bout de quelques mois, on me maria avec le frère de mon époux décédé. En réalité je n'avais pas trop le choix. C'était le mariage ou le couvent. Je ne me voyais pas enfermée dans un couvent toute ma vie bien que je me sens chrétienne au plus profond de mon âme. En plus je ne voulais pas d'une éducation rigide de mes beaux parents pour mon fils. Je préfèrerai le savoir heureux avec moi. Je l'aimais tellement ce petit, qu'il n'est pas question de me séparer de ce petit. Il est ma priorité.
Je n'étais pas très enchantée de ce mariage car je ne connaissais pas du tout mon futur mari et apparemment c'était réciproque.
Mon petit avait peur de lui car il semblait rustre physiquement avec sa barbe noire. J'avoue que j'en avais peur aussi. Mais pourtant il s'avère tendre avec mon petit qu'il choya tant qu'il pu.
Quand il avait le malheur de planter son regard vers moi, j'abaissais ma tête en tremblant. Pourtant il ne criait jamais. Donc je faisais tout pour l'éviter et j'en étais bien aise. Il faut dire qu'on ne partageait pas la même couche.
Il s'aperçut de ma peur envers lui et il décida de se raser. Sans sa barbe hirsute, je le trouvais beau. Il me faisait moins peur car j'ai su qu'il l'avait fait pour moi. Et puis il était beau. Je lui en étais reconnaissance.
Un jour, il vint me voir en colère et me somma de m'enlever mes vêtements de deuil car il ne veut plus me voir souffrir pour un autre homme qui n'est plus. De plus il ne pouvait pas s'occuper d'une femme en deuil. Je lui obéis et je retrouvais mes vêtements de couleur. Et j'étais bien contente car je pouvais m'habiller à mon aise.
Je m'en aperçus que je lui plaisais vu les regards qu'il me jetait. Je ne pouvais pas m'empêcher de rougir !
Le soir, quand j'étais dans mon lit, j'entendais des pas s'arrêter devant ma porte. Une fois, la porte de ma chambre s'ouvrit mais il n'osa pas entrer. Moi je faisais semblant de dormir. Je ne le voulais pas dans ma couche. J'étais bien ainsi !
Mais un soir où il avait bien trop bu, entra en colère dans ma chambre et cria :
« - Vous êtes ma femme, donc à moi, je fais ce que je veux de vous quand l'envie me prend. Est ce bien compris ? J'ai envie de vous et je vais vous prendre que cela vous plaise ou pas !
– Non je vous en conjure, ne faites pas ça, je ne suis pas prête !

- Je vous aime idiote, je vous veux, et je suis votre mari, je suis le chef ici dans cette maison. Je vous prends quand je le décide. Je ne vous laisse pas le choix. Ce sera maintenant. »
Et se jeta sur moi en m'embrassant goulument. J'essayai de me défendre mais il me tenait les mains fermement au-dessus de ma tête. Je pleurais, je suppliais de me laisser tranquille mais rien l'arrêta. En me débattant, je réussi à lui échapper mais celui-ci me rattrapa. En effet, en voulant m'enfuir, je tribuchai sur ma chemisette un peu longue et m'écroula à plat ventre sur le plancher. J'essayais de me relever mais celui-ci en profita de me sauter dessus. Il se mit sur mon dos, pris mes mains qu'il plaque sur mon dos. Avec son genoux il m'écarta les cuisses et me prit avec sa verge gonflée, son arme. Il entra en moi avec une telle force, qu'il me fit crier de douleur mais ça ne dura pas longtemps car il jouit en moi très rapidement. Il me prit dans ses bras pour me poser dans mon lit et me pénétra de nouveau mais de façon plus tendre. Puis il s'endormit sur moi et en moi dans un ronflement sonore. Je profitais de son sommeil pour l'examiner. Je voulais le connaître mieux malgré ce qu'il m'a fait. Je ne lui en voulais pas du tout bien que je trouvais qu'il est allé un peu fort malgré tout. Je lui caressais sa belle chevelure brune. Il était en chemise et j'en profitais pour lui caresser ses fesses musclées. Je m'endormis satisfaite, car j'avoue que c'est bien un bel homme. 6663_435934973163803_900895399_n.jpg
Le lendemain, je me réveillais et mon mari était encore sur moi. Je le secouais gentiment. Il se mit à grogner et se réveilla tout doucement. Il avait l'air bien sur moi ! Il me serra fort dans ses bras. Et se mit à embrasser ma poitrine tout doucement. Il s'arrête et me regardant droit dans les yeux tout en s'excusant de ce qu'il m'avait fait, qu'il ne recommencera pas sans mon consentement. Mais il recommençait à m'embrasser ma poitrine, mon cou, mon ventre. Je prenais grand plaisir. Je sentis son sexe se gonfler mais il s'excusa et sortit de ma chambre. J'en suis restée toute bête !
La journée suivante s'est passée comme rien bien qu' intérieurement, j'étais troublée. Quand il
s'approchait de moi, me frôlait, mon corps frémissait et je ressentais de l'attirance pour lui. C'était comme un jeu. J'avais l'impression qu'il le faisait exprès. De temps à autre, il frôlait une main avec la sienne, il mettait ses mains sur mes épaules en me les serrant, il faisait exprès de m'intimider en me regardant droit dans les yeux. Combien de fois je rougis ? Je ne saurais le dire !
Le soir arriva enfin, ce moment si attendu. J'étais dans mon lit et j'attendis impatiemment que cet homme entre dans ma chambre. J'ai attendu des pas s'approcher, mais s'éloigner rapidement de ma chambre. J'avais envie de le rejoindre mais avais peur de sa réaction, qu'il ne croit pas que le diable fut entré en moi. Il faut faire vraiment attention avec ça , on peut se retrouver sur le bûcher ! On est très croyant dans notre village et il faut faire attention à ce qu'on dit ou à ce que l'on fait. Je ne connais pas bien mon mari et je me méfie. Je me suis endormie au bout de quelques minutes, quand j'entendis que ma porte s'ouvrit tout doucement. Mon mari s'assit sur le rebord du lit et me caressa mes cheveux tendrement. Il se pencha sur moi et me demanda s'il pouvait se joindre à moi. Je ne pouvais refuser sa proposition. J'avais tant envie de tendresse et je vis à ces yeux qu'il en débordait. Il s'allongea auprès de moi et m'enleva ma chemise pour découvrir ma nudité. Avec envie il me dévora des yeux et chuchota combien il était ébloui par ma beauté. Il ne pu s'empêcher de me toucher, de me caresser. Il prit mes seins dans ses mains et passa sa langue en suçant comme s'il un bébé quand il suce le sein de sa mère pour boire son lait. Un vrai délice ! Mon corps se cambrait de plaisir, ma respiration
s'accéléra. Je lui enlevais sa chemise et découvrit sa nudité saillante, bien musclée. Je n'avais découvert qu'une petite partie de son corps la veille. J'adorais dessiner les muscles de son torse, de ses bras, de ses cuisses, de ses fesses avec mon doigt. Je voyais bien sa peau frissonner. Il se décida enfin à m'embrasser en me disant combien il m'aimait, combien il me trouvait belle, désirable. Ces mots étaient d'une grande importance à mes yeux. J'adorais sa bouche, sa langue qui cherchait la mienne. Je sentis son sexe dur s'ériger vers moi. Je sentais sa chaleur, sa douceur. Je le pris dans ma main, j'avais envie de le sentir. Mon partenaire le prit et entra dans moi. Je pouvais dire combien c'était bon le sentir en moins pendant qu'il me couvrait de baiser. Au début il me donna des accoues timides puis alla de plus en plus vite. Je criais de plaisir. Je n'avais jamais ressenti ce genre de chose. Je ressentais des picotements en moi. Des picotements qui me prenait tout mon corps. C'était très agréable, je crus mourir de plaisir. Soudain je le sentis se figer et pousser un soupir. Il répandit sa semence en moi. Il m'embrassa une dernière fois et comme la veille il s'endormit.
Il faut dire que mon défunt mari, était tellement âgé que je ne connu pas réellement de désir charnel.
Le lendemain au réveil, ce fut lui qui me réveilla, il était en moi et commençait son va et vient. Je me suis réveillée agréablement surprise. C'était vraiment un agréable réveil !
Je tombais éperdument amoureuse de lui et je peux dire que je puis donner une petite soeur à mon petit bonhomme quelques mois plus tard.

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Par texterotiqueisabelle
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